Les voitures qui s’en parlent
Le fait de laisser les voitures s’en parler peut sauver des vies. Mais, si toutes les voitures s’en parlent au même temps, la technologie existant ne permet pas de distinguer les importants avertissements de dangers.
Dans quelques jours, l'étudiant Annette Böhm publiera sa thèse de doctorat sur communications entre véhicules. L’étude vis à montrer comment cette communication peut rendre la circulation plus sûre et plus rapide. Une idée fondamentale est d’avertir les conducteurs sur des dangers qu’ils n’ont pas la possibilité d’apercevoir.
Un exemple est circulation sur routes sinueuses. Dans ce cas il est essentiel de savoir si une voiture s’approche de sens inverse. Le conducteur pourrait par exemple être averti par des vibrations dans le volant.
Un autre aspect est l’économie, surtout pour des véhicules lourds qui roulent en peloton. Une technique sûre où les camions s’en parlent peut conduire à une vitesse plus lisse. Il aura moins de freinage et le contrevent de la vitesse fait moins de résistance lorsqu’il sera possible de diminuer la distance entre les carminions.
Il y a donc beaucoup d’avantages mais la chose n’est pas si facile de mettre en œuvre. Une condition absolument essentielle est que tous les véhicules du même continente, parlent la même langue qui dans ce contexte est appelé protocole.
L’autrice a aussi fait des expériences concrètes. De laisser des voitures communiquer dans une ville s’avérait compliqué a cause de bâtiments obscurcissant le trajet du signal. Mais, quand la distance entre les voitures diminuait, comme proche d’intersections, le fonctionnement était meilleur.
Les systèmes existants ne sont pas encore à l’hauteur pour une application générale, surtout pas dans une circulation de haut densité. Le problème est le même que dans une salle bondé où tout le monde s’en parle qui rende impossible de distinguer des informations importantes.
Qui parlera avec qui ? En quelle langue ? Comment faire pour que les signales puissent passer des bâtiments ? Vola quelques problèmes logistiques et informatiques qu’il faudra résoudre.
Dans quelques jours, l'étudiant Annette Böhm publiera sa thèse de doctorat sur communications entre véhicules. L’étude vis à montrer comment cette communication peut rendre la circulation plus sûre et plus rapide. Une idée fondamentale est d’avertir les conducteurs sur des dangers qu’ils n’ont pas la possibilité d’apercevoir.
Un exemple est circulation sur routes sinueuses. Dans ce cas il est essentiel de savoir si une voiture s’approche de sens inverse. Le conducteur pourrait par exemple être averti par des vibrations dans le volant.
Un autre aspect est l’économie, surtout pour des véhicules lourds qui roulent en peloton. Une technique sûre où les camions s’en parlent peut conduire à une vitesse plus lisse. Il aura moins de freinage et le contrevent de la vitesse fait moins de résistance lorsqu’il sera possible de diminuer la distance entre les carminions.
Il y a donc beaucoup d’avantages mais la chose n’est pas si facile de mettre en œuvre. Une condition absolument essentielle est que tous les véhicules du même continente, parlent la même langue qui dans ce contexte est appelé protocole.
L’autrice a aussi fait des expériences concrètes. De laisser des voitures communiquer dans une ville s’avérait compliqué a cause de bâtiments obscurcissant le trajet du signal. Mais, quand la distance entre les voitures diminuait, comme proche d’intersections, le fonctionnement était meilleur.
Les systèmes existants ne sont pas encore à l’hauteur pour une application générale, surtout pas dans une circulation de haut densité. Le problème est le même que dans une salle bondé où tout le monde s’en parle qui rende impossible de distinguer des informations importantes.
Qui parlera avec qui ? En quelle langue ? Comment faire pour que les signales puissent passer des bâtiments ? Vola quelques problèmes logistiques et informatiques qu’il faudra résoudre.
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