La plupart des écrans d’aujourd’hui
émettent de la lumière. C’est très bon quand l’environnement est obscure et
nous somme nombreuse d’aussi utiliser nos portables comme torches. Parce que l’intensité
émis est relativement faible, ils fonctionnent moins bien en plein soleil,
qui est un problème important pour appareilles de photo.
Des chercheurs
Suédois ont maintenant développé un embryon à ce que
pourrait résoudre ce problème. Comme les écrans des tablettes à lire cet écran reflète
la lumière ambiante. Le plus que l’environnement est lumineux le plus il fonctionne
bien mais, contraire à tablettes à lire, aussi en couleur.
La fonction est basée sur des oscillations quantique appelé plasmons, crées dans des nanostructures
qui ne réfléchissent que de la lumière avec une longueur d'onde spécifique.
Dans ce cas ils sont créés par une fine couche d'or de 20 nm perforé par des
petits trous. En variant l'épaisseur d'une couche d'oxyde d'aluminium sous cette
couche d’or, il est possible à créer le trois couleurs fondamentales, le bleu, le
rouge et le vert.
Un type de plastique qui couvre la surface est utilisé pour
activer et désactiver les pixels. Il est normalement noir mais traversé par un
courant électrique, il devient transparent et le couleur en dessous visible.
Jusqu'à présent ils ont seulement réussi à fabriquer
quelques peu de pixels mais ils sont confiants que la technologie peut être développée
pour des écrans. Une utilisation typique serait des grands écrans à l’extérieure.
Peut-être aurions-nous aussi des tablettes à lire en couleur dans quelques années.
L’or est couteux mais pour une tablette
à lire de la dimension 9x12 cm les 20 nm ne correspondent qu’à 0,004 grammes et
un cout d’environ 0,15 €.
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