Alors que le climat se réchauffe les terrains ouverts des
montagnes sont remplacé par des arbustes et des arbres. Ce processus contribue
lui-même au réchauffement. Car, les forêts et d’autres végétations hautes
capture plus d'énergie solaire que les terrains ouvertes.
Cet effet est mesuré en albédo. Une surface qui
réfléchit la totalité du rayonnement a un albédo de 1,0 tandis qu'une surface
qui absorbe la totalité du rayonnement a la valeur 0. Parce que le pâturage des
animaux garde le terrain ouvert, il impacte l’albédo mais l’effet n’est pas
exactement le même par tout.
Une équipe de chercheurs de l'Université d'Umeå, Suède, ont maintenant examiné l’effet du pâturage des rennes sur le climat. Le lieu de l’étude était la vallée de Reisadalen dans le nord de la Norvège, où il existe de zones durement pâturés et des zones protégées depuis plus de 50 ans.
Une équipe de chercheurs de l'Université d'Umeå, Suède, ont maintenant examiné l’effet du pâturage des rennes sur le climat. Le lieu de l’étude était la vallée de Reisadalen dans le nord de la Norvège, où il existe de zones durement pâturés et des zones protégées depuis plus de 50 ans.
L’albédo moyen de la Terre est d'environ 0,3. L'analyse des
chercheurs montre que les zones protégés avaient un albédo d'un peu plus de
0,15, tandis que les fortement pâturée avaient environ 0,19.
L’analyse montre qu’un pâturage améliore la capacité de la
montagne à réfléchir de la chaleur. La prochaine étape sera d’appliquer cette
recherche sur des surfaces larges pour mieux pouvoir estimer l’impact sur le climat
régional.
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