Lorsque nous faisons un effort physique dur, par exemple une
longue course, l’énergie nécessaire vient du glucose. Dans les muscle il est
présente en forme glycogène, (un polymère de glucose), qui facilement se
décompose à un carburant efficace.
Dans sa forme pure le glycogène est une poudre mais dans le corps il est présent comme une solution dans l’eau. Cette eau n’a pas de valeur énergétique qui fait que le glycogène comme stockage d’énergie pèse lourd. C’est pourquoi le corps humain pour des efforts qui durent longtemps aussi utilise une forme d’énergie moins pesante, de la graisse. Le désavantage est que sa chaine de décomposition vers énergie est plus complexe et demande plus d’oxygène.
Dans sa forme pure le glycogène est une poudre mais dans le corps il est présent comme une solution dans l’eau. Cette eau n’a pas de valeur énergétique qui fait que le glycogène comme stockage d’énergie pèse lourd. C’est pourquoi le corps humain pour des efforts qui durent longtemps aussi utilise une forme d’énergie moins pesante, de la graisse. Le désavantage est que sa chaine de décomposition vers énergie est plus complexe et demande plus d’oxygène.
Pourtant, pour des petits oiseaux le poids est particulièrement
important car ils sont constamment menacés par des prédateurs et ont besoin de
rapidité pour les éviter Par conséquent, l’évolution les a optimiser pour
pouvoir accélérer et manœuvrer sans transporter du poids inutile. C’est
pourquoi leurs réserves d’énergies sont dans la forme de graisse brune qui est plus
rapidement accessible.
Un autre défi énergétique pour des petits oiseaux est de
garder leurs corps chaud quand il fait froid. Ils doivent généralement tenir leurs
corps à 42 C. Dans le très nord il n’est pas inhabituelle que la température
descend vers les -20 C. Ces oiseaux doivent donc maintenir une différence de
température de l’ordre de 60 C. Ce fait est particulièrement difficile pour des
petits oiseaux car par la relation surface/masse-corporelle leur est très défavorable.
Pendant l'hiver, des petits oiseaux, comme par exemple le lagopède ou le grand tétras, doivent donc fournir chaque cellule avec beaucoup d’énergie.
Un oiseau de la taille d’une mésange doit en hiver parfois augmenter son poids
de près de 10% pendant le jour, déposé comme de la graisse, pour faire face à la
dépense énergétique pendant la nuit. C’est une prestation remarquable considérant
que les jours dans le très nord sont courtes. Pourtant, la mésange boréale
et d’autres oiseaux, qui ne pèsent que 12-13 grammes, sont capables à le faire.
« D’avoir un appétit d'oiseau » ou « manger
comme un moineau », sont des expressions dans la langue courante pour
manger peu. Si je mangerais comme un oiseau j’aurais besoin de consommer au moins 6 kg par jour.
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