Pour éviter un catastrophe naturelle
future nous savons tous que la energiewende, la transition énergétique, est un
nécessité. Il s’agit d’un peu prés réduire l’utilisation de combustibles fossile
avec un facteur 2.
Les engagements promit par des pays du
monde à Paris en décembre ont fait beaucoup de rubriques. Mais, depuis les
média s’intéressent plus aux sports, qui ne changent rien, qu’à la question
sérieuse de notre avenir.
Il est généralement reconnu que la
solution, ou plutôt les solutions, seront technologiques et la recherche pour les
trouver est intense. Des solutions potentiellement possibles apparaissent peu à
peu.
Une option intéressant est l’usage
d’hydrogène parce que quand « brulé » ce gaz ne forme que de l’eau.
Les usages potentiels sont multiples. Le plus connu est probablement voitures
électrique propulsé par piles à combustible. D’autres applications pourraient être stockage d’énergie
produit par soleil et vents et comme remplaçant de charbon dans la fabrication
d’acier.
Le problème est que l'hydrogène est coûteux à produire. Une
méthode est électrolyse mais elle coûte cher entre autre parce qu’il faut des
métaux rare, comme le l'iridium et le ruthénium, dans les catalyseurs.
Mais, des chercheurs de KTH, Stockholm, ont maintenant trouvé
une option. Dans leur catalyseur ils utilisent un mélange de nickel et
vanadium qui sont nettement moins cher. Ce nouveau matériau est composé en
couches où la taille des particules est sur l’échelle nanomètres. Un catalyseur
fait de ce composé a non seulement une grande surface active mais est aussi une
bon conducteur de l’électrique.
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