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samedi 28 mai 2016

L’E-santé attire des jeunes entreprises technologies



Les pays nordiques sont à l'avant-garde dans l'E-santé. Une multitude de start-up cible maintenant leurs applications vers le rapide passage de soins numérisés.

Ils sont tous convaincu que nous sommes confrontés à un changement major des paradigmes dans les soins de santé, similaire à ce qu’a fait Spotify pour l'industrie de la musique.

Les soins des médecins dans l'avenir seront évidemment encore des interventions physiques mais une grande partie des autres activités, comme le diagnostic et de traitement, seront numérisés. Les tendances actuelles dans l'E-santé sont de la surveillance et des solutions de soins pour personnes âgées, les soins du diabète et la maladie de Parkinson et l'analyse des données à partir d’images.

Plusieurs groupes de patients, tels que les asthmatiques ou les arthrites rhumatoïdes, auront leurs propres applications interactives et d'autres outils numériques pour surveiller leur état de santé en permanence. Il y a aussi des méthodes numériques pour la pratique de la pleine conscience, des problèmes de sommeil et le traitement de l'abus d'alcool.

En général, la tendance est vers plus de soins préventifs. Certains pensent que aussi des gens en parfaite santé bientôt pouvons mesurer leurs états physique régulièrement avec le but d’être averties si quelque chose n’est pas normal.

Les dossiers numériques médicaux virtuels partagés par médecins sont selon les visionnaires déjà le passé et cela malgré le fait qu’ils à peine ont été mis en place par les structures de soins.

L'avenir est dans des solutions plus innovantes, ce qu’on appelle « la santé connecté ». Il s’agit de tirer profit de l'interaction entre les données qui seront collectées lorsque des milliers de patients avec le même problème en permanence enregistre leurs informations, soit par capteurs automatiques soit manuellement.

Un exemple est Tummy Lab qui avec les données des utilisateurs sur leurs régimes alimentaires génère beaucoup de nouvelles informations au profit de ceux qui ont des problèmes d'estomac.

Outre que la tendance d'auto-mesures il y aura des nouvelles façons de diagnostiquer. Au lieu d'examiner les biomarqueurs spécifiques pour certains problèmes, il s’agit d’interpréter la situation basé sur des nombreux symptômes et leurs soins enregistré dans des base de donnés.

En cas d’une infection bactériale la méthode conventionnelle est de cultiver le microbe pour l’identifier. Il est lent. Au lieu il y a la possibilité d’examiner la composition de protéines dans le sang, qui est un genre d’empreinte spécifique pour chaque bactérie. Pour que ce méthode fonctionnera il faut un base de donné avec ces empreintes.

Ceux qui s’occupent avec l’administration centrale des hôpitaux sont évidemment contentes qu’il maintenant existe une application numérique pour soigner la phobie des araignées et tant d’autres problèmes, car ils aident toutes à couper les coûts.

Cependant, ils convoquent des entreprises capables à concevoir les innovations de procédés à grande échelle pour le système de santé capable de  par exemple surveiller des personnes âgées. Ces gros systèmes qui soient possible à consulter indépendamment du système d’exploitation, robuste, sécurisés et avec des possibilités de connecter des add-ons, sont le talon de Aquiles dans l’informatique. De plus, ils sont très chers. C’est un problème fondamental d’architecture numérique qu’il vaut mieux essayer à résoudre sur le niveau européen.    

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