Le 19 Août 1925, il y
a 90 ans, 700 délégués de 37
pays se sont réunis dans la cathédral de
Stockholm pour l'ouverture de la première
conférence œcuménique mondial. Dans la foule il y avait des évêques,
des chefs religieux et des professeurs de Wittenberg, Paris, Alexandrie, Bombay, Canterbury et Berlin.
Nathan
Söderblom, l’archevêque suédois, était l’architecte de cette réunion. Que
des différant chemins peuvent mener à Dieu n’était pas une idée formulé par lui
mais il en était un fort partisan. Söderblom avait réussi à persuader une grande partie de la chrétienté qu’après 1 600 ans de conflits il était temps de s’entre-parler.
Le soutien de
l'Église suédoise brillait par son
absence. Le monde n’était pas prêt pour son un message de paix. Après
le mort de Söderblom, en 1931, il
s’est effrité par encore une autre
guerre dévastatrice avec des atrocités
pires que ne jamais. Pourtant, le rêve
idéaliste et naïf de Söderbloms sera repris,
est ce fois par l’église catholique sous la Pape le pape Jean XXIII.
Dans le fameux document du IIème
concile œcuménique du Vatican Nostra
Aetate, à notre époque, il a été proclamé qu'il existe beaucoup de chemins différents vers Dieu et que la
façon que l'église catholique le fait n’est pas le seul.
Où en est-on aujourd’hui ?
L’église suédoise s’est démocratisée. C’est-à-dire
que les fonctionnaires maintenant sont élus. Avec se fait elle évite le très
mauvais trait dans le monde religieuse, que les représentants ne sont pas
représentatives. De plus, il y a eu un nettoyage dogmatique. La seule chose
nécessaire de croire pour être un chrétien est désormais la résurrection de
Jésus. La naissance virginale et toutes les autres histoires dans la bible sont
optionnelles. Evidemment il existe des poches de opposition ici et là, contre les
pasteurs femmes, contre les mariages pour tous et cetera, mais elles sont
minoritaire.
Il bouge aussi un peu dans le monde
catholique. Un exemple est la communauté œcuménique de Taizé, Bourgogne. Elle héberge de jeunes de toute
l'Europe pour chanter, prier et
parler de la foi.
Dans un l’autre coin du monde la coexistence n’est pas si
simple. La bagarre dans la basilique de la Nativité à Bethléem est un exemple.
Non plus semblait-il que les querelles
liturgiques ont cessé.
Cependant, en Irlande du Nord les catholiques et les
protestants ne s’entre-tuent plus. Il me semble donc que quelques progrès vers
une existence fraternelle ont été faits depuis le premier effort œcuménique en
1925. Cependant, il semble difficile de combattre les injustices et les inégalités
avec de la théologie.
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