Plusieurs médias
internationaux ont cet été rapporté d'un physicien
suédois qui a écrit près d'un
million d'articles pour Wikipédia.
C’est un exploit surhumain, bien sûr.
Mais, non pas si on est un programmeur
qualifié. Cependant, il n'est pas
lui qui a écrit tous ces textes. C’est le robot Lsjbot qui depuis 2012 a créé des
milliers d'articles sur différentes
espèces végétales et animales.
Lsjbot est programmé pour récupérer des informations à partir de diverses bases de données biologiques. En condition qu’il existe des petits textes sur un sujet, ce logiciel est capable de les mettre ensemble comme un article pour Wikipédia. Ce qui réduise l’intervention humain à un minimum. Le principe est le même pour d’autres robots écrivains qui à partir des textes de Wikipédia peuvent rédiger des livres.
Lsjbot est programmé pour récupérer des informations à partir de diverses bases de données biologiques. En condition qu’il existe des petits textes sur un sujet, ce logiciel est capable de les mettre ensemble comme un article pour Wikipédia. Ce qui réduise l’intervention humain à un minimum. Le principe est le même pour d’autres robots écrivains qui à partir des textes de Wikipédia peuvent rédiger des livres.
Un bot, (abréviation
de robot), est un logiciel conçu pour
automatiquement exécuter des opérations, souvent sans interaction humaine. En règle générale, ces logiciels sont de
nature structurelle et répétitif,
par exemple Googlebot qui recueille, indexe et trie des pages sur internet.
Les bots sont beaucoup plus fréquents qu’on
généralement pense. Ils sont par exemple utilisé pour jeux en ligne ces de
poker sont très difficile à combattre. Ils sont aussi employé dans les achats
et vent des actions automatiques, appelés négociation
algorithmique de haute fréquence. Un autre
exemple est le bot administratif, Cydebot, qui automatiquement
a effectué plus de 4,5 millions
de modifications dans Wikipédia, voici ces compétences.
Selon Wikipédia, un
bot est soit « préprogrammé pour effectuer certaines tâches
simples selon un modèle
donné, ou pour réagir aux
changements dans leur environnement ». Pourquoi
s'intéresser à ces programmes rudimentaires ?
Simplement parce que la plupart de nous n’en sait pas assez sur
la technologie numérique et les code
sous-jacent, qui est
la base de l'échange d'informations sur Internet. Malgré l’importent croissance
d’Internet l’analphabétisme numérique
est répandu. De savoir plus sur les facteurs qui jouent est une forme d’information
des consommateurs. Il s’agit de savoir comment l'information
sur Wikipédia est automatiquement emballée, comment les bots sont utilisés pour des fins commerciales en automatiquement
augmentant le nombre de visites sur certains
sites, ou pourquoi il vaut mieux ne pas permettre des cookies.
Les bots sont intéressants en soi. Mais, ils semblent
aussi de plus en plus importants pour l'économie de clics
contemporains. Quiconque peut aujourd'hui
facilement s’acheter des « suiveurs »
afin d'accroître son statut social
ou commercial. Sur le site Swenzy
10 000 suiveurs coûte environ 1000 dollars.
Sur d'autres sites moins scrupuleux on peut obtenir jusqu'à un million de fidèles pour le même prix. Les bots sous la forme de
faux fidèles ont rapidement
devenu une industrie lucrative.
« Word wide tricherie » ! Dans une récente
campagne publicitaire pour Mercedes-Benz la majorité,
57% des 365 000 visites, venaient de bots. Chez les annonceurs il y a un scepticisme croissant sur des campagnes de publicités
numériques qui peut atteindre des visites importants mais sont vus par presque personne.
Twitter a une structure ouverte aux messages
automatisé. C’est pourquoi les
Twitterbots sont fréquentes. Le site adolescent Olivia Taters ne twitte
pas toujours compréhensible, mais au moins si intelligible que d’autre des mêmes intérêts peut converser avec
« elle ». Bank of America a un bot qui déclenche dès que Bank of America ou
BOA est mentionné:
« Hello, were you able to get the problem
resolved ? If not, I’d like to help ».
Les bots ont au moins en théorie un potentiel d'agir comme assistants numériques.
Parmi les innombrables
Twitterbots il y a évidemment beaucoup de spam et déchets commerciaux, mais dans des futilités hilarants on y trouve sont aussi des œuvres créative. Entre 2007 et 2014
l’everyword a par exemple envoyé 110 000 messages, un pour chaque
mot dans la
langue anglaise. AddAWordBot
télécharge des titres
de films à partir d’une base de données et les modifie en
ajoutant un mot au hasard. Un
nouveau titre de film est envoyé toutes les deux minutes.
Des Twitterbots très sophistiquées
existent aussi. Un est Pentametron qui fait
des sonnets de type Shakespeare à 14 lignes sous la devise : « With algorithms subtle and discrete / I seek iambic writings
to retweet ».
Une activité humaine peut aussi déclencher
une réponse. Celui qui envoie un message à #Yoda, obtienne
sur Yoda_Bot une
réplique qui inclut des mots de la langue Yoda, parlé en
Star Wars.
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