La vaccine de la crise
La Suède
n’a pas échappé de la crise économique. Fondamentalement crée par des
politiciens irresponsables elle est seulement venu plus tôt, dans les années
90.
Le PIB suédois diminuait pendant trois ans consécutives, la dette augmentait
à un rythme record, le gouvernement
a été contraint d'ouvrir une
banque pour en toute urgence sauver les systèmes de paiements, tandis que les citoyens pour la première fois ont connu une diminution
des assurances sociales.
L’Europe subit actuellement une crise
pareille. Elle a jusqu'à lors eu des effets dévastateurs
économiquement et politiquement.
Quatre Premiers ministres, (Irlande, Portugal, Grèce et Italie), et un président, (France), ont été congédiés par les électeurs. En Italie, la méfiance des solutions politiques traditionnelles a mit l'ancien commissaire européen Mario Monti, à la tête du gouvernement.
Quatre Premiers ministres, (Irlande, Portugal, Grèce et Italie), et un président, (France), ont été congédiés par les électeurs. En Italie, la méfiance des solutions politiques traditionnelles a mit l'ancien commissaire européen Mario Monti, à la tête du gouvernement.
La Grèce, l'Irlande et le
Portugal ont jusqu'à présent reçu un support de la somme incroyable de
307 milliards €, 10% de la PIB
français. Avec assurances d’UE et FMI elle a été donnée en formes de prêts sur conditions que ces états n’auraient jamais eues tout seul.
Les politiciens suédois que ont-ils apprit de
la crise ? Beaucoup, et ne pas seulement sur le niveau intellectuel. Au
fil des ans ils ont conçu une défense pour éviter de tomber dans le bourbier
encore une fois. Des frais bancaires qui sont mis en fonds en cas de besoin est un exemple et des règles budgétaires, en France appelé règle d’or, un autre. L’époque où les
politiciens pouvaient argumenter pour réformes sans financement est finit. Les
paroles démagogiques ont considérablement diminué et la politique est devenue plus
pragmatique qu’idéologique.
Pourtant, les citoyens suédois ont moins
compris. Ils prêtent de l’argent comme ne jamais et la dette totale,
c’est-à-dire la somme des dettes privés et de l’état, est sur le même niveau qu’en
Grèce.
La crise des années
1990 a commencé avec une bulle
immobilière. Maintenant elle se répète en Espagne. Si
les prix immobiliers encore une fois chuteront en Suède, le risque est imminent, les personnes
endettées seront durement frappés. Mais, la société
ne prendra pas la même gifle qu’il y a
deux décennies. Quelque chose de bien venu de la crise.
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Ne fait pas confidence à l’entreprise Eyguebelle,
Elle m’a envoyé un mail sans clairs instructions comment être effacer dans leur bas de donne, le voici
Les possibilités données sont probablement
fort illégales. Que font les procureures françaises !
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