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vendredi 19 avril 2013

Technologie d’apprentissage


Dans les années 1980 j’enseignais de la technologie dans un lycée. Il y avait quelques ordinateurs mais il ressemblait plutôt des machines à écrire et les résultats se annonçaient comme un texte sur un imprimant.

Mes élèves devraient entre autre apprendre à calculer les forces sur une poutre chargée de poids. En calculant à main un exemple réaliste, tel que les poutres d’un camion, pouvait prendre plus qu’une heure.

Il est dans ce contexte que j’ai programmé un ordinateur pour résoudre des problèmes du même type. De plus, j’ai mit quelques « bonbons » aléatoires dans le logiciel tels que : « Merci, mais donnez moi un problème plus difficile la prochaine fois », ou « Un message de la machine exécutif Felix ». Puis, les élèves devraient vérifier leurs calcules sur l’ordinateur. Le succès n’a pas duré et le logiciel a bientôt été utilisé par mes collègues.

J’ai donc compris plusieurs choses. Des ordinateurs dans l’enseignement ne servent à rein s’ils ne sont pas accompagnés par des logiciels et une pédagogie bien adaptée. En plus, d’y intégrer des petites messages ou autres facteurs relaxantes stimule les élèves.

Depuis les ordinateurs ont fait leur entré dans l’enseignement supérieure et maintenant ils sont en train de pénétrer les niveaux plus bas. Il est temps de les introduire aux plus jeunes.      

Selon une nouvelle étude des jeunes élèves qui utilisent un ordinateur ou une tablette apprend plus vite à lire et à écrire. Comparé avec ceux qui sont obligés former les lettres avec un crayon, cette méthode rende les enfants capables d'écrire des textes plus longs dans une langue meilleure structurée.

L'étude a été menée sur des enfants de 7 ans scolarisés à la première année en Suède. Les élèves étaient testés à la fois en lecture et en écriture. Dans les deux cas le groupe qui utilisait des ordinateurs progressait beaucoup plus vite.

Ceux qui avaient utilisé le stylo pourraient écrire quelques phrases tandis que ceux avec ordinateurs ont su écrire de longues histoires, jusqu'à 2 300 mots.

Lorsque les élèves n'ont pas à se concentrer sur le travail ardu de former des lettres, ils peuvent entièrement consacrer leurs forces à la langue écrit. Cela est également bénéfique pour les enfants qui ont des difficultés avec la motricité.

La technologie numérique offre un soutien en plusieurs manières. L'orthographe peut par exemple être contrôlée par des paroles synthétiques de la façon que les enfants entendent s’ils ont mal écrit. Un texte peut aussi facilement être vu par tout le monde, discuté et corrigé. Dans ce manière l’apprentissage devient plus social ce qui augmente la motivation des élèves.

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