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jeudi 4 avril 2013

Énergie de la mer

Nous voulons tous plus d’énergie de sources renouvelables mais les problèmes de les mettre en place sont considérables. Le tableau montre les donnés primaires d’où une des paramètres le plus important et la disponibilité de production maximale. 

L’énergie du soleil est à 1 000 heures par an et donné qu’un an a 760 heures, il ne produise la puissance maximale que 11% du temps. Le chiffre de la puissance installé est par fois impressionnante mais pour le comparer avec des sources conventionnelles, telles que nucléaire et hydraulique, il faut le réduire avec un facteur presque 10.


La disponibilité du vent est un peu meilleur, 25%. Pour les vagues elle est presque le double, 45%. Le plus stables sont des courants sous-marins, 80%.

Cependant, les engins pour récupérer l’énergie de la mer sont moins développés que le soleil est le vent. Pour les vagues il y a en effet encore une compétition entre différentes principe. Un des premiers à produire puissance pour le réseau a été le serpent de la mer, très spectaculaire.

  
Un autre principe consiste à un flotteur sur la surface qui par un câble tire un générateur linéaire sur le font. Le fonctionnement est expliqué dans cette vidéo.


Le développement de la technologie a débuté chez l'Université d'Uppsala il y a 10 ans. Un prototype de la première génération a été testé dans un lac en 2006 et la deuxième génération dans la mer en 2009. La troisième génération est actuellement en essais dans la mer sur la côte ouest de la Suède et les concepteurs espèrent qu’elle sera à la pointe.


 La particularité dans cette génération est le matériau de l'énorme aimant en bas, (translateur ?). Les centrales électriques conventionnelles utilisent des aimants composés de néodyme, fer et bore. Le problème avec le néodyme est qu’il est un métal de terre rare avec la Chine comme producteur dominant.

Au lieu il est maintenant conçu d’une matière céramique fabriqué à partir de déchets de l’industrie sidérurgique. Elle est moins puissante mais peu cher et beaucoup plus respectueux de l'environnement. Pour contrarier ce désavantage les chercheures ont augmenté la densité du flux magnétique en changeant la forme. Le translateur est maintenant plus grand et plus lourd. Un effet secondaire est que la suspension qui autre fois le retirait vers le bas n’est plus nécessaire. De plus, les calcules indiquent que le rendement maintenant sera 50% plus important, 30 kW par unité.

L’expérimentation est auprès suivi par l’entreprise spin-off, Seabased, qui a une concession de 420 unités, installés d'ici à 2015.

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