Énergie de la mer
Nous voulons tous plus d’énergie de sources renouvelables mais les problèmes de les mettre en place sont considérables. Le tableau montre les donnés primaires d’où une des paramètres le plus important et la disponibilité de production maximale.
L’énergie du soleil est à 1 000 heures par
an et donné qu’un an a 760 heures, il ne produise la puissance maximale que 11%
du temps. Le chiffre de la puissance installé est par fois impressionnante mais
pour le comparer avec des sources conventionnelles, telles que nucléaire et
hydraulique, il faut le réduire avec un facteur presque 10.
La disponibilité du vent est un peu
meilleur, 25%. Pour les vagues elle est presque le double, 45%. Le plus stables
sont des courants sous-marins, 80%.
Cependant, les engins pour récupérer l’énergie de la mer sont
moins développés que le soleil est le vent. Pour les vagues il y a en effet
encore une compétition entre différentes principe. Un des premiers à produire puissance
pour le réseau a été le serpent de la mer, très spectaculaire.
Un autre principe consiste à un flotteur sur la surface qui par
un câble tire un générateur linéaire sur le font. Le fonctionnement est
expliqué dans cette vidéo.
Le développement de la technologie a débuté
chez l'Université d'Uppsala il y a 10 ans. Un prototype
de la première génération a été testé dans
un lac en 2006 et la deuxième génération dans la mer en
2009. La troisième génération est actuellement en essais dans la mer sur la
côte ouest de la Suède
et les concepteurs espèrent qu’elle sera à la pointe.
La particularité dans cette génération est
le matériau de l'énorme
aimant en bas, (translateur ?). Les
centrales électriques conventionnelles utilisent des aimants composés de néodyme, fer
et bore. Le problème avec le néodyme est
qu’il est un métal de terre rare avec
la Chine
comme producteur dominant.
Au lieu il est maintenant conçu d’une matière céramique fabriqué à partir de déchets de l’industrie sidérurgique. Elle est moins puissante mais peu cher et beaucoup plus respectueux de l'environnement. Pour contrarier ce désavantage les chercheures ont augmenté la densité du flux magnétique en changeant la forme. Le translateur est maintenant plus grand et plus lourd. Un effet secondaire est que la suspension qui autre fois le retirait vers le bas n’est plus nécessaire. De plus, les calcules indiquent que le rendement maintenant sera 50% plus important, 30 kW par unité.
Au lieu il est maintenant conçu d’une matière céramique fabriqué à partir de déchets de l’industrie sidérurgique. Elle est moins puissante mais peu cher et beaucoup plus respectueux de l'environnement. Pour contrarier ce désavantage les chercheures ont augmenté la densité du flux magnétique en changeant la forme. Le translateur est maintenant plus grand et plus lourd. Un effet secondaire est que la suspension qui autre fois le retirait vers le bas n’est plus nécessaire. De plus, les calcules indiquent que le rendement maintenant sera 50% plus important, 30 kW par unité.
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