Durant la cime de l'empire
romain, entre l'an 14, quand l'empereur Auguste est mort et l'an 395, la
disparation de Théodose, il y a eu 69 empereurs qui en moyenne ont régné
pendant 5,5 ans. Autant que 62% d'eux ont eu une mort violente.
Les chercheurs qui
maintenant ont analysé ces décès, écrivent que cela est équivalant à jouer de
la roulette russe, bien qu'avec quatre balles au lieu d'une dans les six places
de la tourelle.
En tant qu'empereur le
risque d'être tué ressemble à une courbe en U.
Le risque était élevé au
cours de la première année sur le poste, ensuit il y avait quelques années
relativement tranquilles mais à environ 12 ans le risque augmentait. En
d'autres termes, un empereur nouvellement arrivé était vulnérable avant d'avoir
établi son autorité et après un peu plus d'une décennie, il avait réussi à
créer des nombreux ennemis qui n’en voulaient plus. La période le plus sûr
d'éviter une mort soudaine et maléfique était après environ 8 ans.
Près de 80% des empereurs ont
subi des morts violentes ou ont été assassinés, 12% sont morts au combat et 9% se
sont suicidés.
Dans une étude antérieure publié
dans le British
Journal of Criminology des chercheurs
ont suivi les destins de 1513 monarques dans 45 pays d'Europe au cours des
années 600 à 1800. Parmi ceux-ci, 22% ont eu une mort violente, généralement
par meurtre. Cette étude montre aussi une nette amélioration au fil du temps, c’est–à-dire
que autrefois des morts violentes étaient beaucoup plus fréquentes.
Source : Palgrave
Communikations
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