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mardi 8 octobre 2019

Des cerveaux d'animaux déroutants, Partie 1


Les systèmes cérébraux et nerveux peuvent être très différents dans le monde animal. Les corbeaux ont par exemple plus de cellules cérébrales par gramme de cerveau que les humains. Les poulpes peuvent avoir un cerveau dans leurs tentacules et de nombreuses araignées ont un grand cerveau pour pouvoir concevoir des filets compliqués. Un autre fait étonnant est que les ascidies décomposent leurs cerveau à quand ils grandissent.

Le cerveau du corbeau comprend des nombreuses cellules nerveuses

Un gramme de leur cerveau contient presque 3 fois plus de cellules nerveuses qu'un gramme de cerveau humain. De plus, leur centre d’intelligence, le palladium, contient 14 fois plus de cellules nerveuses par gramme que le cortex cérébral humain. Cela explique pourquoi le corbeau est si intelligent, même si son cerveau n'est pas plus gros qu'une noix.

Le cerveau de l’épinoche mâle est plus gros que celui d’une femelle

Le cerveau de l’épinoche mâle est à peine 20% supérieur à celui de la femelle. Une telle différence de taille du cerveau entre les sexes est très rare. Une explication pourrait être que la vie du mâle demande plus de réflexion que celle de la femelle. Le mâle construit un nid relativement avancé qui attirer la femelle et il protège aussi les nouveaux nés. Étant donné que la femelle évite ces engagements, un cerveau plus petit peut être bénéfique, car il lui permet d'économiser de l'énergie et d’avantage rends possible à consacrer des ressources pour la production d'œufs.

Les vers ronds peuvent apprendre malgré leur petit système nerveux

Le vers rond Caenorhabditis elegans est  environ 1 mm de long. Son système nerveux est composé de seulement 302 cellules. À titre de comparaison une mouche bananière en a environ 250 000. Malgré le évident manque de capacité cérébrale, ce petit vers est étonnamment enseignable. Si on par exemple laisse le vers suivre une odeur de son aliment préféré, (bactéries), mais plutôt lui offre un aliment non comestible, il s'éloigne éventuellement  du ce sentier. Il est donc capable
à « repenser ».

Partie 2

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