Plusieurs entreprises
vendent des matériaux du toit avec panneaux solaire intégrés. Ce que rend l’entreprise
Midsummer diffèrent est qu’elle le
fait avec la technologie CIGS, (cuivre, indium, gallium et sélénium), aussi appelé couche mince parce
que l’épaisseur de la surface active n’est que 1 à 2 µm.
Le développement de la
technologie CIGS comme alternative à silicium se poursuit depuis des décennies.
Le silicium est un genre de céramique et il est mis sur des plaques de verre pour
éviter le problème de dilatations thermiques diffèrent.
Sans trop en pensé les développeurs de la technologie CIGS choisissaient aussi du
verre comme substrat porteur -- sauf Midsummer qui depuis leur début utilise plaques
d’acier inoxydable, le tout encapsulé en plastique. L’avantage est que ces
cellules deviennent flexibles et idéales pour toits, véhicules et autres
structures où les panneaux classiques en silicium sont trop rigides ou trop
lourdes.
Midsummer a depuis le début
en 2004 focalisé sur la conception de machines de production. Elle est
maintenant la seule société au monde à disposer un processus suffisamment
stable et performant pour une production de panneaux flexibles en grand échelle.
Récemment, il y a eu une amélioration significative du rendement correspondant
à 16,4% de la surface totale. C’est quelques pourcent moins que de panneaux de
silicium mais à cause d’un prix plus bas très concurrentielle.
Le prix de leurs plaques
de toit est atour de 150 €/m2, à comparer avec tuiles
photovoltaïques de 400 à 1000 €/m2 et des panneaux solaire de 200 à
300 €/m2.
En Californie, il y a 435
millions de mètres carrés de toit plats qui ne supportent pas le poids des
panneaux de silicium. Dans ces cas les plaques solaires de Midsummer sont la
seule option.
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