Des chercheurs de l'Université Chalmers de Göteborg ont
réussi à créer un tapis de clous minuscules de graphène avec des
pointes de 60 à 100 nm en hauteur. Lorsqu’une bactérie entre en contact avec ces
aiguilles la membrane protectrice est perforée et elle
meure. Par contre, les cellules humaines, qui sont significativement plus
grandes, ne subissent aucun dégât notable.
La prochaine étape sera de d’étudier si ces aiguilles peuvent être utilisées comme couches
protectrices sur cathéters et implants médicaux. Ensuite, suivront expérimentations
sur animaux.
L'un des défis est de produire une couche stable et sûre. Il faut que les petites flocons de graphène ne desserrent pas, car en flottant libre dans le corps humaine ils peuvent potentiellement faire des dégâts.
L'un des défis est de produire une couche stable et sûre. Il faut que les petites flocons de graphène ne desserrent pas, car en flottant libre dans le corps humaine ils peuvent potentiellement faire des dégâts.
Des études antérieures ont montré que graphène peut
avoir un effet bactéricide. L’astuce utilisée dans cette expérience a été de
créer des structures verticales. Cependant, une méthode de fabrication en grand
échelle est toujours cherché.
Source : Advanced Materials Interfaces.
Source : Advanced Materials Interfaces.
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