Une petite boîte, un peu plus grand qu’un téléphone mobile,
peut contenir des modèles d'organes humains vivantes à l'échelle 1: 100 000.
Cette technologie qui est en train de se développer rapidement est un simulateur
biologique d’organes humains appelé organ-on-a-chip. Les
organes et les tissus à l’intérieure sont reliés par des mince tuyaux et un
système de pompage qui imite la circulation de fluides dans le corps humain.
Un spin-off de l'université de Berlin, l’entreprise TissUse, est une
des plus avancé dans le domaine. Dans leur boite il est actuellement possible
de combiner quatre organes reliés par deux circuits de fluides corporels. Dans une
position centrale il y a actuellement un rein.
Les espoirs sont importants car ces genres de dispositifs peuvent
mener à moins de l'expérimentation animale, des nouveaux et moins coûteux
médicaments et des soins médicaux individuellement conçu.
Les organes sont cultivés par des échantillons de cellules d’une patiente, des cellules iPS, (cellules pluripotentes induites), dont les cellules ordinaires sont transformées à des cellules souches qui peuvent être utilisées pour produire des organes.
Une application possible serait d’utiliser des cellules d’un patient, les cultiver et puis expérimenter la dose de médicament optimal.
Les organes sont cultivés par des échantillons de cellules d’une patiente, des cellules iPS, (cellules pluripotentes induites), dont les cellules ordinaires sont transformées à des cellules souches qui peuvent être utilisées pour produire des organes.
Une application possible serait d’utiliser des cellules d’un patient, les cultiver et puis expérimenter la dose de médicament optimal.
Les sociétés pharmaceutiques et cosmétiques suivent de près
le développement dans l'espoir de trouver des nouvelles possibilités de plus
simplement tester médicaments et additifs. Un arrangement souvent nécessaire pour
ce but est un foie combiné avec un ou plusieurs autres organes. Avec des tissus
d’un foie et de la peau il sera par exemple possible à tester une nouvelle
pommade, un shampooing ou une crème. Si fournie avec un tissu intestinal il
serait de la même manière possible d’évaluer l’absorption d’un médicament pris oralement.
Le médicament administré est transporté entre les organes
par la circulation artificielle. Ceci
rend possible d’observer si des substances toxiques sont formées dans le foie.
Le nombre de tests actuellement faites sur les animaux et
seulement en Suède près de 800 000 par an. Le problème est qu’ils seulement à
une certaine limite produisent des résultats utiles. Cette nouvelle technologie
peut potentiellement réduire le temps et le coût de développement de nouveaux
médicaments.
En effet, 9 sur 10 tests sur animaux n’ont pas les mêmes effets
quand cliniquement testée sur des humains. La raison est simple, le métabolisme
des animaux n’est pas la même que chez les humains.
TissUse vise à créer un simulateur masculin et féminin avec
10 organes qu’elles soient prés a lancé autour de 2018. C’est la complexité
qu’il faut achevoir pour remplacer environ 70% des tests sur animaux.
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