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lundi 11 juillet 2016

Toujours plus d’ingénieures diplômée



Sans vis le monde tomberait littéralement à part. C’est une phrase que je parfois utilise quand quelqu’un par exemple fait valoir que les progrès dans le monde sont poussés par la philosophie. Il n’est pas très gentil mais je le dit parce que je pense que la culture technologique n’a pas la place qu’elle mérite dans la société et surtout dans le monde médiatique.

Peut-être que ce fait changera dans avenir, parce que selon cet article dans Le monde, la formation d’ingénieurs progresse par 4% par ans. La tendance est particulièrement fort pour les femmes françaises, qui parmi les diplômés maintenant sont de 30%. 1 personne sur 62 est actuellement ingénieure en France et c’est exactement le même taux que pour la Suède.

Pourtant, le besoins sont loin d’être saturés. La carence est particulièrement grave dans le secteur informatique. Des ingénieries dans ce domaine sont maintenant cherchées dans tous coins du monde. Parmi les 3 informaticiens dans mon entourage proche, 2 sont des immigrants.

Dans la presse suédoise il a récemment eu un article sur 2 informaticiens syrien qui se sont réfugiés en Suède. Apres quelques semaines les 2 avaient trouvé des emplois. Une est une femme qui au moins sur la photo est tout habillé en blanc, la tête inclus !
 
Informaticienne

Energiwende est un mot allemand qui récemment s’est répandu, en français il se traduit par transition énergétique. Pour la simple raison de la nécessité, l’energiwende est en cours par tout dans le monde et sans plus d’ingénieurs elle sera difficilement réalisable. Le secteur est par tradition très masculine qui fait qu’il existe un grand potentielle chez les femmes. L’industrie suédois le comprend et essaye avec des diverses activités inciter des jeunes femmes à ce doté avec une éducation dans le domaine. Pourtant, l’effet, s’il existe, n’est pas immédiat.

C’est pourquoi l’industrie suédoise et une structure publique maintenant mutuellement finance des places comme apprenties pour les réfugiés ingénieures. Leurs jours sont composé de 6 heures de travail et 2 heures d’apprentissage de la langue. L’intérêt des entreprises est si important que les organisateurs pensent qu’il par an aura 1000 places offert par 300 employeurs dans un proche avenir.

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