Des nombreuses listes classent les pays du monde en fonction de certains
critères. Global
Innovation Index est publié chaque année et il liste les
pays selon leur climat innovateur. La France fait moyennement bonne avec le
placement 21, (page 32). Les leaders sont la Suisse, la Royaume unis et la
Suède.
L’index est basé sur divers critères tels que la qualité des
institutions, les infrastructures, niveau de la recherche, nombre de brevets et
cetera. Parce que le mot « innovation » n’est pas si bien défini, la
signification de cet index n’est pas si claire.
Voici comment Larousse explique innovation :
1.
Action d'innover.
2.
Introduction, dans le processus de production et/ou de
vente d'un produit, d'un équipement ou d'un procédé nouveau.
3.
Ensemble du processus qui se déroule depuis la naissance
d'une idée jusqu'à sa matérialisation (lancement d'un produit), en passant par
l'étude du marché, le développement du prototype et les premières étapes de la
production.
4.
Processus d'influence qui conduit au changement
social et dont l'effet consiste à rejeter les normes sociales existantes et à
en proposer de nouvelles.
Quand nos politiciens parlent d’innovations
il est probablement dans le sens de numéro 3. Selon cette définition il inclut
5 étapes qui ensemble forment un chemin qui dans les plus part de cas est loin
d’étroite. Il semble que c’est un variant de cette chaîne que le Global Index a
l’ambition de mettre en chiffres.
Pourtant, de la statistique montre seulement
comment les choses sont et ne pas pourquoi. Le réflexe des politiciens de
pomper plus de ressources dans la chaine de innovation n’est peut-être pas la
meilleur méthode de progresser. Dans l'arrière-plan il existe suivant d’autres
facteurs, peu visibles mais importants, par exemple attitudes et approches cultures.
Pourquoi ne pas faire un effort de mettre en
avant la culture technologique, en commençant par les médias.
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