Dans notre côté du monde nous estimons
beaucoup la démocratie. C’est une façon d’organiser la société qui
graduellement a pris pied en Europe. Je me souviens les passionnantes leçons du
sujet que j’ai à l’école. Le chemin n’a pas été droit, ni sans contrecoups et
il existe toujours des choses à améliorer.
Pourtant, quand les gens sont demandés sur
une échelle mondiale, il n’est pas la démocratie qui est tout en haut sur la
liste de ce qui caractérise une bonne société. C’est l’absence de corruption.
Il n’y a rein de culturel dedans, la corruption est détestée par tout. Comme un
sociologue l’a formulé : Toutes campagnes pour expliquer que la corruption
est mauvais est une perte d’argent.
Dans la recherche sur la migration il existe un facteur appelé « pousser et tirer ».
Le premier pousse les gens à émigrer
à cause de guerre, pauvreté ou d’autres. Le dernier détermine
le lieu.
Il est dans ce contexte que des chercheurs suédois ont trouvé que les institutions mal fonctionnant est aussi est un facteur majeur pour le facteur « pousser ».
Il est dans ce contexte que des chercheurs suédois ont trouvé que les institutions mal fonctionnant est aussi est un facteur majeur pour le facteur « pousser ».
La corruption, l'instabilité
politique et un mauvais climat pour des entreprises
poussent les gens à émigrer et ils sont tirés vers des pays de faible
niveau de corruption, stabilité politique et des bonnes
conditions pour entrepreneurs migrants.
Il a aussi été observé que les gens vivant dans des pays pauvres,
mais avec de bonnes institutions,
émigrent moins. La raison probable est que des telles sociétés ont la possibilité de se développer favorablement en long terme. De même façon, et en dépit d'un bon niveau de vie, des pays riches mais avec des institutions mauvaises,
sont aussi des pays de beaucoup d'émigration.
Considérant des facteurs affectants tels que
la proximité entre pays, la même langue, des effets secondaire d’une migration
précédente et une l’histoire commune en forme de colonialisme, ne change rien de
la conclusion.
L'analyse est basée sur une base de données
des flux migratoires de 192 pays lors de 1990 à 2010.
Source : Institutet för
Näringslivsforskning
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