Sport idéalisé
Le JO à Londres remplisse nous quotidiennes et les vainqueurs
avec corps musculeuses nous sourient sur les photos. L’impression de bien être est
forte. Malheureusement s’est de la tromperie. Les sportifs ne sont ni plus
heureux ni plus saint que nous les autres, peut-être même le contraire.
Le pire est les sports violents. Selon un
nouveau rapport de la British Medical Association les boxeurs sont plus précocement
et plus largement touchés par la maladie d'Alzheimer,
la maladie de Parkinson et la démence
sénile. La variante de rugby américain, le football américain, n’est pas
si innocent non plus. Les responsables sont maintenant poursuivis par 3 000 ex-joueurs
en raison de la fausse information
sur les risques qui leur ont été transmises depuis des années.
D’autres sportifs souffrent presque tous les jours de
muscles douloureux ou des blessures. Mais, la souffrance n’est pas un sujet qui
intéresse les médias. Des images de sacs plastiques rempli de glace appuyés se sur les muscles ou des injections anti-doleurs ne fait pas la une.
On pourrait penser que les corps d’athlètes
montrent une raisonnable contrepartie
à l’idéale anorexique de la mode, des corps de
différentes origines qui se rencontrent dans une compétition pacifique et où ceux qui gagnent sont récompensés.
L'idée est facile à avaler. Où est la complication ? Depuis l’antique nous admirons des corps bien musclés et instinctivement nous associons cette perfection esthétique avec le plaisir de bien être. Bien sur, il n’est qu’une illusion.
L'idée est facile à avaler. Où est la complication ? Depuis l’antique nous admirons des corps bien musclés et instinctivement nous associons cette perfection esthétique avec le plaisir de bien être. Bien sur, il n’est qu’une illusion.
Que font ses sportifs après la fin de leurs
carrières ? Certains vivent bien mais la grande majorité n’ont pas l’éducation
ni le capital pour le faire. Qu’ils dans se vide sont nombreux à tomber dans des
abus de différent caractère est bien connu.
Les plus tragiques sont néanmoins ceux qui sont
laissés sur la route car il n’y a qu’une tout petite minorité qui arrive sur
les grandes scènes. Chez OM ils sont conscients du problème et le club gère un
encadrement scolaire de ses jeunes joueurs. Cette année 2
candidates de 14 ont réussi de
passer le baccalauréat. Les entrainements et les voyages ont la priorité et
dans cette fragmentation du temps il n’est pas facile d’étudier. Il est estimé
que seulement 1 sur 15 des ces talents finalement arrivent à joindre un club de
la ligue 1. Les autres 14 sont laissés sur la route sans vraiment savoir autre
chose que de botter un ballon.
Les tragédies dans le sillage du sport, qui
veut en savoir ?
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