Ouvroir
Cette femme est connectée ! Un fil est l’alimentation électrique, l’autre va vers un hautparleur et entre les deux elle joue de la musique sur son synthétiseur cousu sur ces vêtements.
Si vous pensez qu'un synthétiseur doit avoir des clés, vous avez donc tord. L’ouvroir fabrique ses synthétiseurs avec des fils à coudre conduisant, quelques composantes électroniques et les attachent sur n’importe quelle tissue, soit tabliers ou sacs.
L’ouvroir a été fondé par trois femmes avec un intérêt commun pour électronique et musique expérimentale. Maintenant, elles font des ateliers dans cette spécialité un peu particulière.
Les fondatrices se sont rencontrées dans un projet l'électronique. Mais, entouré par tant des hommes elles ont trouvé l’atmosphère général un peu trop «geek», (consacre son temps à ne faire qu’une chose), et elles ont démarré leur propre structure.
Les participants reçoivent un sac avec une carte de circuit, un condensateur, une photorésistance, rondelles, fils à coudre conduisant, pinces crocodiles et un morceau de bâche en plastique. En fixant et joignant ces composants ils créent une unité fonctionnelle. Connecté à un haut parleur le résultat est de la musique.
Si vous pensez qu'un synthétiseur doit avoir des clés, vous avez donc tord. L’ouvroir fabrique ses synthétiseurs avec des fils à coudre conduisant, quelques composantes électroniques et les attachent sur n’importe quelle tissue, soit tabliers ou sacs.
L’ouvroir a été fondé par trois femmes avec un intérêt commun pour électronique et musique expérimentale. Maintenant, elles font des ateliers dans cette spécialité un peu particulière.
Les fondatrices se sont rencontrées dans un projet l'électronique. Mais, entouré par tant des hommes elles ont trouvé l’atmosphère général un peu trop «geek», (consacre son temps à ne faire qu’une chose), et elles ont démarré leur propre structure.
Les participants reçoivent un sac avec une carte de circuit, un condensateur, une photorésistance, rondelles, fils à coudre conduisant, pinces crocodiles et un morceau de bâche en plastique. En fixant et joignant ces composants ils créent une unité fonctionnelle. Connecté à un haut parleur le résultat est de la musique.
Les ateliers se terminent généralement par un concert, où les participants jouent leurs compositions.
L'idée d'utiliser les textiles pour concevoir un instrument de musique est venue à une des fondatrices quand elle a vu le contrôleur de LilyPad Arduino, qui est une unité électronique adaptée pour être fixé sur tissus, par exemple pour contrôler la lumière dans une pièce.
Parmi les trois fondatrices, une est artiste d’arts visuels, une est professeur de piano et une est batteuse dans un petit orchestre.
Dès le début l'objectif était de répondre à la curiosité des femmes pour de la nouvelle technologie. Mais l’ouvroir fait maintenant aussi des ateliers abordé des deux sexes et tous âges. Environ 500 personnes ont jusqu'à présent cousu leur propre synthétiseur.
Pourtant, je me demande comment on lave se tissues ?
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