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lundi 28 janvier 2019

La maintenance simplifiée avec pièces imprimés en 3D


Un détail pour une serrure de porte

Moins cher, meilleure qualité, plus facile et plus flexible. Le correspondant de SNCF suédois, SJ, voit de grands avantages et opportunités avec leur  développement de pièces de rechange imprimés en 3D.

SJ est maintenant dans la phase de production de pièces en série et cela coûte moins cher que de fabriquer des pièces avec une technologie traditionnelle.  L’entreprise a réalisé des études préliminaires sur la fabrication avec des imprimantes 3D en 2017 et une production en série va démarrer en 2018. A l’heure actuelle il y a une commande de 200 pièces.

L’économie les plus importants est que le temps entre la commande et la fabrication est très courte qui considérablement limite le temps de la réparation. C’est-à-dire qu’il aura plus de train sur les rails et moins de trains en attente de réparation.

Les premières pièces de rechange imprimées en 3D chez SJ ont été un nouveau type de support pour les rouleaux de papier toilette en plastique, des serrures de toilette en métal et des capuchons de protection pour les prises électriques et bouches d'aération.

Pourtant, une complication dans ce contexte est que les fabricants des pièces d'origines peuvent considérer cette activité comme un piratage. C’est pourquoi l’activité actuellement est concentré sur des pièces pour lesquelles il n’y a plus des droits d’origines où qui ne sont plus commercialisés. Dans des affaires a l’avenir SJ a l’ambition de résoudre ce problème dans les contrats.

La technologie 3D signifie aussi que les pièces de rechange davantage peuvent être fabriquées lorsqu'elles réellement sont nécessaires, au lieu d'être stockées avant un besoin éventuel. De plus, les matériaux peuvent être améliorés qualitativement, les délais de livraison sont plus rapides et l'administration plus simple.

Jusqu'à présent, SJ n’a pas fabrique des pièces de rechange imprimées qui ont un impact sur la sécurité du train. Mais, maintenant, elle est sur le point d’aller plus loin. La première pièce est un détaille pour les essieux des roues qui maintenant est dans un processus qui conduira à une approbation de sécurité.

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