Notre mémoire auditif est bien inférieure aux impressions
visuelles ou objectes touchés. C’est qu’a constaté
des chercheurs de University of Iowa.
Dans une expérience ils ont testé la mémoire court de 100 lyciens. Les participants
étaient invités d’entendre des sons dans
écouteurs, regarder diverses nuances de carrés rouges sur un écran et sentir des vibrations faibles
en saisissant une barre d'aluminium. Chaque ensemble de sons, carrés et vibrations était séparée par des retards allant
de 1 à 32 secondes.
Bien que la mémoire
avec le temps se dégradât en tous domaines pour
tous, les oublis augmentaient beaucoup plus pour les sons.
L’effet commençait déjà après 4 à 8 secondes suivant l’exposition.
Dans une deuxième expérience les chercheurs
testaient la mémoire des
participants en utilisant des impressions qu’ils
rencontrent quotidiennement. Il s’agissait de aboiements
de chiens, des vidéos silencieuses
d'un match de basket et bloqué de vue des touchés d’objets banales
tel qu’une tasse de café. Les chercheurs
ont pu constater que, entre 1
heure et 1 semaine plus tard, les sujets avaient
beaucoup de difficulté de se souvenir les sons entendus, tandis
que leurs mémoires des images et des objets restaient bonnes.
Les deux expériences
suggèrent que la façon dont nous processions et
enregistrons des sons est différente dans la manière que nous traitons autres
types de mémoires.
Depuis très long temps cet effet et bien connu dans la
pédagogique appliqué. Il est étonnant qu’il ait fallu des décennies pour le
constater scientifiquement.
Ce que vous dites entre dans une oreille et sort par
l’autre. Voila une instruction fondamentale pour professeures.
Voici un autre : N’écrivez jamais quelque chose de
faut sur le tableau, même sous un croix rouge. Les impressions visuelles
sont si puissantes que les élèves risquent de mémoriser aussi les fautes.
Lorsqu’on y est : Un autre savoir,
aussi important, dans toutes genres d’enseignement est que : La
capacité de se concentrer d’un élève ne dur que 10 minutes. Déjà le 11
minute est un gaspillage de temps et cela vaut tant pour lycéens que étudiantes
à l’université. Au lieu de marteler des choses, évidemment vrais, pendant long
temps il vaut mieux mettre les élèves en travaille. L’apprentissage est un
escalier. Sur les verticales on apprend la théorie et sur les horizontales on
fait l’expérience qu’elle fonctionne.
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