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vendredi 7 mars 2014

Dans des grandes surfaces



Lorsque vous entrez dans un supermarché, vous voulez probablement dépenser le moins d'argent que possible. Cependant, le supermarché veut que vous dépensiez le plus d'argent que possible. Le combat commence dés que vous y entrez.

La bataille se passe entre vous et toute une bande d’experts qui en détaille ont cartographié les faiblesses humaines. Les moyennes pour ce type de recherche ne manquent pas. Il y a des profits à faire.

Comme simple citoyen on se demande pourquoi cette activité, qui au fond a pour but de nous rendre malheureuse parce que nous n’avons pas si ou ça, est tant à l’abri de règlements et taxations. Elle n’augmente pas la qualité de la vie. En effet, elle est parasitaire.       

Dés que vous entrez dans un supermarché vos sens sont déjà sous assaut par les premiers produits exposés, peut-être fruits, légumes ou fleurs. Les couleurs flambantes mets les gens en bonne humeur et plus ils sont heureux, le plus ils dépensent.

Le nez est également visé. Les parfumes du pain frais ou poulets rôtis renforcent l’impression de fraîcheur et donnent l’envie de manger. Il est même possible que vous en achetez pour vous épargner la peine de le cuisiner. Même le sens de l'ouïe est sous attaque. De la musique de rythme lent incite à bouger plus lentement, ce qui signifie que les gens passent plus de temps dans le magasin.

Les supermarchés son bons à exploiter la nature humaine pour augmenter leurs profits. Un paquet de 225 grams au lieu de 250 grams ? Évidemment le premier est plus difficile de convertir à un prix par kg. Les gérantes comptent sur nos difficultés de faire des comparassions. Peut-être que des produits exposés en vrac soient plus économiques ? Il n'est pas toujours le cas.

Serait-il éventuellement possible que la conscience de l’existence de ces stratégies de ventes affaiblisse leur efficacité ? Il ne semble pas être le cas car les effets sont en grand partie subconscientes. Des personnes qui résistent impulsions sont plutôt rares. Les expérimentations de produits de haute qualité, emballés en blanc et bleu, sans la charge de publicités et vendu moins cher, n’ont jamais été des succès.

Il y a des stratégies de marketing qui sont peu connu par les consommateurs. Un est le placement des articles dans les rayons. Ces arrangements sont appelé planogrammes. Un planogramme est un schéma qui indique le placement de produits qui maximise le profit.

Une phrase courant dans les instructions de planogrammes est « le niveau de l'œil est le niveau d'acheteur ». Cela signifie que les produits positionnés au niveau des yeux vendent mieux. C’est le placement optimal pour des produits coûteuses tandis que les moins chers sont mises soit plus haut, soit plus bas.

Le nombre de vues, c’est-à-dire le nombre de produits dans la vision d’un client a également un effet sur ​​les ventes. Le plus visible que est un produit, le plus il vend. Le placement dans une allée est également importante. Selon une école de pensée les marchandises placées au début des allées ne se vendent pas aussi bien. Car, un client a besoin de temps pour s'adapter à une allée et sa position préférée est au milieu.

On pourrait penser que la conception d'un bon planogramme serait de mettre des produits similaires ensemble telles que céréales, articles de toilette, produits de cuisson et cetera. Cependant, les supermarchés ont trouvé qu’il est plus logique de placer certaines produites complémentaires ensemble, par exemple de la bière avec des chips. Et, ces chips sont d’avantage les plus chers. De la bière incite.

L’idée de placer des produits complémentaires ensemble est un maux de tète pour les supermarchés. L’exemple de la bière et les chips peut sembler facile à gérer mais un effet secondaire et que les ventes globales de chips peut en souffrir. Surtout s’ils sont placés dans une autre partie du magasin sur un espace réduit. Et, que faire avec les cacahouètes ? 

Les supermarchés veulent aussi que leurs clients achètent les produits les plus chers. C’est un processus connu sous le nom « montée en gamme ». Si le but est de faire le client acheter les marques précieuses, comment organiser le magasin ? Les clients qui sont sur un budget ont quand même besoin d’acheter les options les moins coûteuses. Mais, pour les clients qui peuvent se le permettre, il est préférable qu’ils choisissent des produits de haut de gamme. De concevoir cet optimisation dépasse la capacité du cerveau humain. Il vaut mieux utiliser un algorithme tenant en compte de la taille, la hauteur et la profondeur d'étagères pour diriger les clients vers le bon produit, au bon moment.

Je suis moraliste. Nous somme tous des victimes de faux sourires commerciaux.

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