Pages

vendredi 14 mars 2014

715 nouveaux mondes ?



Le vaisseau spatial Kepler a d'un seul coup découvert 715 exoplanètes. Au moins quatre d'entre eux se trouvent dans une zone de température modérée et ressemblent notre planète.

Autrefois, il y a seulement quelques décennies, chaque planète découverte en dehors notre système solaire était une sensation. Maintenant nous sommes plus blasés, les découvertes sont devenu monnaie courante. Le 26 Février NASA annonçait que l'analyse des données de Kepler montrait 715 planètes extrasolaires. Tout en tout nous avons maintenant connaissance de plus de 1800 exoplanètes.

Malgré des problèmes techniques répétées, Kepler a pu recueillir énormément de données depuis sa mis en place en 2009. Il s'agit essentiellement d'un télescope de miroir numérique. Le miroir est de 1,4 mètre et sur le plan focal il y a 42 capteurs, chacun de 2200 x 1024 pixels. La résolution totale est de 95 mégapixels. En 2009 c’était incroyablement beaucoup mais aujourd’hui juste un peu mieux qu’un appareil photo standard.

Les capteurs mesurent la luminosité de chacun des 145 000 étoiles dans la zone de vision toutes les 6 secondes. Si une étoile a un système planétaire, orienté de sorte que Kepler puisse le voir, la lumière diminue légèrement quand une planète passe devant. Cependant, le changement n’est qu’un 100éme d’un pour cent. Les capteurs doivent être très sensibles.

Pour surement confirmer un passage il faut au moins 3 observations. Une planète de même type que le notre doit avoir une orbite semblable, c'est-à-dire autour d’un an. Le temps pour confirmer l’observation est donc 3 à 4 ans. Pourtant, la duré de vie prévu pour Kepler était initialement 3 ans mais en 2012 NASA a décidé de le maintenir jusqu’au 2016.

Le télescope est constamment visé vers la constellation de cygne. Le champ de l'image est d'environ la zone couverte par une paume tenue à bout de bras.

Pour stabiliser la sonde il y a trois roues. Deux sont orientées perpendiculairement. Le troisième est en 45 degrés et seulement activé en cas de panne d’un des autres. Quand un des ces roues rote, le sonde rote en contresens.  
  
Le 14 juillet 2012, un des roues principales a cessé de fonctionner. Il a fallu connecter le roue de secoure mais le 15 mai 2013 il a eu encore une panne. La recherche de planètes dans le Cygne a dû été annulée. Mais, il y avait encore beaucoup de données à analyser, un travail monotone et fastidieux.

Cela jusqu'à un homme du nom de Jack Lissauer a inventé une nouvelle méthode d'analyse mathématique. Il l'appelle «vérification par multiplicité » et c’est grâce a lui que le nombre d'exoplanètes connues si soudainement a augmenté à 715.

Selon les données de Kepler, l’astronome Seth Shostak estime qu’il y a au moins 50 milliards de planètes dans la Voie Lactée. Par conséquent, à moins 500 millions d’eux ressemblent la Terre. Cependant, même avec un calcule optimiste, il n’y a qu’une minuscule parie d’eux qui serait habitables. Pour que une vie biologique soit possible, il faut du l’eau, de l’oxygène et une température et une gravitation modéré.

Les gens qui s’intéresse à la question ont crée le mesure earth similarity index « Indice de similarité avec la Terre ». Dans ce site il y a une liste. En cliquant sur la rubrique earth similarity index il est révélé que le Gliese 667C est en tête de liste avec l’index 0.82. Il est à 22 années-lumière de nous. Étant donné que nous avons crée une bulle de radio-ondes de la taille d’environs 80 années-lumière atour de nos, une civilisation vivant sur ce plante aurait eu les 44 ans nécessaires pour entamer une conversation. Non, il n’a probablement pas des extraterrestres sur Gliese 667C.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.