Le vaisseau spatial Kepler
a d'un seul coup découvert
715 exoplanètes. Au moins quatre d'entre eux se trouvent dans une zone de température
modérée et ressemblent notre planète.
Autrefois, il y a seulement quelques décennies, chaque planète découverte en dehors
notre système solaire était une sensation. Maintenant nous
sommes plus blasés, les découvertes sont devenu monnaie courante. Le 26 Février NASA annonçait
que l'analyse des données de Kepler montrait 715 planètes extrasolaires. Tout en
tout nous avons maintenant connaissance de plus de 1800 exoplanètes.
Malgré des problèmes techniques répétées, Kepler a pu recueillir énormément de données depuis sa mis en place en 2009. Il s'agit essentiellement d'un
télescope de miroir
numérique. Le miroir est de 1,4 mètre et sur le plan focal il y a 42 capteurs, chacun de 2200 x 1024 pixels. La résolution totale est de
95 mégapixels. En 2009 c’était incroyablement beaucoup mais aujourd’hui juste
un peu mieux qu’un appareil photo standard.
Les capteurs mesurent la luminosité de chacun des 145 000 étoiles dans la
zone de vision toutes les 6 secondes. Si une étoile
a un système planétaire, orienté de
sorte que Kepler puisse le voir, la
lumière diminue légèrement quand
une planète passe devant. Cependant,
le changement n’est qu’un 100éme d’un pour cent. Les capteurs
doivent être très sensibles.
Pour surement confirmer un passage il faut
au moins 3 observations. Une planète de même type que le notre doit avoir une orbite semblable, c'est-à-dire
autour d’un an. Le temps pour confirmer l’observation
est donc 3 à 4 ans. Pourtant, la duré de vie prévu pour Kepler était initialement 3 ans mais en 2012 NASA a décidé de le maintenir jusqu’au 2016.
Le télescope est constamment
visé vers la constellation de cygne. Le champ de
l'image est d'environ la zone
couverte par une paume tenue à
bout de bras.
Pour stabiliser la sonde il y a trois roues. Deux sont orientées
perpendiculairement. Le troisième est en 45 degrés et seulement activé en cas de panne d’un des autres. Quand un
des ces roues rote, le sonde rote en contresens.
Le 14 juillet 2012, un des roues
principales a cessé de fonctionner. Il a fallu connecter
le roue de secoure mais le 15 mai 2013 il a eu encore
une panne. La recherche de planètes dans
le Cygne a dû été annulée. Mais,
il y avait encore beaucoup de données
à analyser, un travail monotone et fastidieux.
Cela jusqu'à un homme du nom de Jack Lissauer a inventé une nouvelle méthode d'analyse mathématique. Il l'appelle «vérification par multiplicité » et c’est grâce a lui que le nombre d'exoplanètes connues si soudainement a augmenté à 715.
Cela jusqu'à un homme du nom de Jack Lissauer a inventé une nouvelle méthode d'analyse mathématique. Il l'appelle «vérification par multiplicité » et c’est grâce a lui que le nombre d'exoplanètes connues si soudainement a augmenté à 715.
Selon les données de Kepler,
l’astronome Seth Shostak
estime qu’il y a au moins 50 milliards
de planètes dans la Voie Lactée.
Par conséquent, à moins 500 millions d’eux ressemblent la Terre.
Cependant, même avec un calcule optimiste, il n’y a qu’une minuscule parie
d’eux qui serait habitables. Pour que une vie biologique soit possible, il faut
du l’eau, de l’oxygène et une température et une gravitation modéré.
Les gens qui s’intéresse à la question ont
crée le mesure earth similarity index « Indice
de similarité avec la Terre ». Dans ce
site il y a une liste. En cliquant sur la rubrique earth similarity index il
est révélé que le Gliese 667C est en tête de liste avec l’index 0.82. Il est à
22 années-lumière de nous. Étant donné que nous avons crée une bulle de
radio-ondes de la taille d’environs 80 années-lumière atour de nos, une
civilisation vivant sur ce plante aurait eu les 44 ans nécessaires pour entamer
une conversation. Non, il n’a probablement pas des extraterrestres
sur Gliese 667C.
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