La fourrure est une
chaleureuse couverture pour des journées froide, utile
et presque omniprésente parmi les
mammifères. Mais, dans l’évolution nous, les humains, et quelques
autres espèces, par exemple les rats de taupe nue, l’ont perdu.
Nous savons que ce développement s’est passé
dans un climat tropique. D’être chauve
en Afrique n'était évidemment pas si
mauvais, mais quand nous nous somme établi dans des
zones de climat frais, il y eu de
réels inconvenances. L’évolution n'a
pas prévoyance. Lorsqu'elle sélectionne les plus adaptés
elle n’a aucune idée où le développement future ira.
Pourquoi nous somme sans fourrure n’est pas
connu mais il n’y des hypothèses.
Une conjecture est que les premiers humanoïdes
vivaient en grands groupes et que la
fourrure se remplissait de tiques et poux. Les personnes ayant peu de chevelure étaient
donc moins susceptibles d'attraper des maladies transmises par parasites. Le contre-argument est naturellement
que d’autres espèces d’Afrique, aussi vivant en groupes, ont gardé leur
fourrure.
Une autre hypothèse est que nous avons passé un important
période de notre développement dans l’eau. Certaines mammifères qui vivent dans
l’eau, notamment les baleines, n’ont pas de fourrure et comme nous ils stockent
des réserves d’énergie comme de la grasse sous-cutané. Ce
notion est aussi supporté par le fait que les seul fois quand les signes
marchent sur deux pieds est quand ils traversent l’eau. L’argument contre cette
hypothèse semble être que les fossiles ne la supportent pas.
Pourtant, nous avons gardé des cheveux sous
les bras. Beaucoup de dames qui se rasent ont fait l’expérience qu’elles
transpirent plus. C’est une chimère. Les chevaux augmentent la surface
d’évaporation qui faut que moins de sueur reste coincée. Pourquoi cette
fonction serrait un avantage évolutionnaire est une énigme.
Quand nos ancêtres
étaient couverts de fourrure, les muscles dans leur peau
se contractaient en cas de colère ou températures basses, qui dressaient
les cheveux. Quand un chien est en colère ou est effrayé, c’est les mêmes muscles
qui soulèvent le poil. Ces muscles gonflent aussi les plumes des oiseaux et la
fourrure des mammifères en cas de temps froid. Bien que nous n’ayons plus
de fourrure, ces muscles n’ont pas disparu. Ils se contractaient chaque
fois que nous avons peur ou d’autres sentiments
forts. La chair de poule n’a plus grand importance mais
elle persiste et témoigne de notre passé.
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