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mardi 25 février 2014

La fourrure inutile



La fourrure est une chaleureuse couverture pour des journées froide, utile et presque omniprésente parmi les mammifères. Mais, dans l’évolution nous, les humains, et quelques autres espèces, par exemple les rats de taupe nue, l’ont perdu.

Nous savons que ce développement s’est passé dans un climat tropique. D’être chauve en Afrique n'était évidemment pas si mauvais, mais quand nous nous somme établi dans des zones de climat frais, il y eu de réels inconvenances. L’évolution n'a pas prévoyance. Lorsqu'elle sélectionne les plus adaptés elle n’a aucune idée où le développement future ira.

Pourquoi nous somme sans fourrure n’est pas connu mais il n’y des hypothèses.

Une conjecture est que les premiers humanoïdes vivaient en grands groupes et que la fourrure se remplissait de tiques et poux. Les personnes ayant peu de chevelure étaient donc moins susceptibles d'attraper des maladies transmises par parasites. Le contre-argument est naturellement que d’autres espèces d’Afrique, aussi vivant en groupes, ont gardé leur fourrure.

Une autre hypothèse est que nous avons passé un important période de notre développement dans l’eau. Certaines mammifères qui vivent dans l’eau, notamment les baleines, n’ont pas de fourrure et comme nous ils stockent des réserves d’énergie comme de la grasse sous-cutané. Ce notion est aussi supporté par le fait que les seul fois quand les signes marchent sur deux pieds est quand ils traversent l’eau. L’argument contre cette hypothèse semble être que les fossiles ne la supportent pas.    

Pourtant, nous avons gardé des cheveux sous les bras. Beaucoup de dames qui se rasent ont fait l’expérience qu’elles transpirent plus. C’est une chimère. Les chevaux augmentent la surface d’évaporation qui faut que moins de sueur reste coincée. Pourquoi cette fonction serrait un avantage évolutionnaire est une énigme.

Quand nos ancêtres étaient couverts de fourrure, les muscles dans leur peau se contractaient en cas de colère ou températures basses, qui dressaient les cheveux. Quand un chien est en colère ou est effrayé, c’est les mêmes muscles qui soulèvent le poil. Ces muscles gonflent aussi les plumes des oiseaux et la fourrure des mammifères en cas de temps froid. Bien que nous n’ayons plus de fourrure, ces muscles n’ont pas disparu. Ils se contractaient chaque fois que nous avons peur ou d’autres sentiments forts. La chair de poule n’a plus grand importance mais elle persiste et témoigne de notre passé.

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