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vendredi 27 décembre 2013

Panne de carburant mentale

Il n’est pas seulement les voitures qui peuvent se trouver en situation de panne de carburant. Nos, les humains, ont aussi besoin d’énergie. Physiquement elle est mesurée en kJ ou kcal, dont la seule différence est un facteur 4,18. Mais, l’énergie mentale est aussi importante. Une différence entre les voitures et nous et que les premières ont un gauge qui nous avertie quand une panne de carburant s’approche.

Il s’agit de notre système d’autocontrôle. La modèle d’autocontrôle « vigueur » suggère que nos ressources physiques et mentales, sont limitées. Le fait que la dernière kilomètre dans un tour de jogging suivant est le plus dur a un correspondant mental : Après un effort de résistance contre une grande tentation il est incroyablement difficile de résister à une petite. L’explication est simple, panne de carburant mentale.

La comparaison de carburant n’est pas si mal trouvée parce que des chercheurs ont, en toute sincérité, constatée que l'ingestion de glucose en effet peut augmenter la maîtrise de soi. Cependant, ils ont aussi proposé que de la prière serrait un autre moyen par lequel les individus se protègent contre pannes de volonté.  

L’article Scientists Find One Source of Prayer’s Power rapporte une expérience qui support de la dernière hypothèse. L’étude était composée de deux parties.

Dans la première, appelée tâche de suppressions d’émotions, les participants étaient invités à regarder une vidéo drôle mais d’étouffer toutes réponses émotionnelles, verbales ou non verbales. De bien réussir dans ce test exige une bonne quantité d'énergie cognitive.


Dans le deuxième, appelé la tâche de Stroop, consistait à demandé les participants d'indiquer la couleur de l'encre de différents mots flashé sur un écran d’un ordinateur. L'astuce est que les mots écrits ne correspondent pas à la couleur. Dans toute son simplicité cet exercice demande beaucoup de concentration et il est connu que le taux de sucée détériore fortement avec un épuisement cognitif.

Ainsi, les auteurs ont trouvé une élégante méthodologie : Seront des gens qui prient entre ces deux exercices en mesure d'éviter les effets appauvrissant et mieux réussir ?

C’était le cas. Les participants qui avaient été invités à prier sur un sujet de leur choix pendant cinq minutes ont fait meilleures que ceux qui simplement avaient été demandé à réfléchir sur un sujet de leur choix. L’effet a tenu indépendamment si les participants s’identifiaient comme religieux ou non.  

Les auteurs ont testé plusieurs explications possibles mais appui sur la statistique des résultats, il ne restait qu’un possible : Les gens perçoivent la prière comme une interaction sociale avec Dieu. Car, les interactions sociales sont connues pour accumuler les ressources cognitives nécessaires pour éviter tentations. Cet effet semble donc aussi fonctionner pour brèves interactions sociales avec divinités.

Je suis assez sceptique. Mon expérience est que toutes les activités qui vide le cerveau de pensés qui tournent répétitivement, par exemple des regrets ou la solution d’un problème mathématique sur une piste infertile, sont bien pour nettoyer et injecter de la nouveau carburant dans le cerveau. Un bon œuvre de l’art, un poème ou une pomme, n’importe quoi peut fonctionner.

Mais, un de mes favorites est néanmoins de reculer ma voiture. C’est aussi une façon de nettoyer le cerveau car le manœuvre est si compliqué que toutes autres pensés devient impossibles. Qui peut siffler en reculant une voiture ? L’effet ressemble un redémarre d’un ordinateur.

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