Les sources d’énergie vert, soleil est vent, sont très
connu. Dans certain pays le taux de vent dans le réseau électrique est
considérable, Danemark 27%, Portugal 17% et Espagne 16%.
Le problème de ces sources est qu’ils sont capricieuses, par
fois elles produisent beaucoup, par fois presque rien de tout. Pour contraire ce
variation le Danemark a choisit de laisser le prix varier en
fonction de la disposition.
Le jour de noël passé la production d’énergie de vent a été si importante que
les consommateurs ont été payés pour leurs usages. En autres occasions le prix
a été si élevé qu’un simple lavage coûtait 40 euros.
L’énergie des vagues souffre moins de ces
variations. Beaucoup d’effort a depuis des décennies été fait pour la rendre
rentable. Mais, l’environnement est rude et de concevoir un principe avec un
rendement acceptable s’est avéré un problème difficile. Actuellement il y a
plusieurs principes sur la lisse.
Un entre eux est le serpent de la mer écossaises,
appelé Pelamis, qui semble être proche d’un percé commercial.
Un autre principe fonctionne avec des générateurs électriques
linéaire au fond de la mer tirés par bouées. Il est conçu par l’entreprise suédoise Seabased.
Un problème que cette entreprise a dû entamer est la formation
de glace en l’hiver. La côte ouest de la Scandinavie ne gèle pas mais c’est le
cas dans la mer Baltique. Il faut évidemment concevoir les bouées qui ne sont
pas écrasés par la glace mais sans que la forme ne réduise pas leur performance.
Deux ans de testes sur la côte d’îles Åland, (entre la Suède
est le Finlande), sont maintenant accompli. Les bouées ont subit deux hivers
avec plus de 15 centimètres de glace.
Au cours du premier hiver,
le projet utilisaient une bouée hexagonale
construit de tubes
ronds. Une autre conception de bouée, avec des côtés plates et inclinent
vert le haut était testé l’hiver suivant. Les deux ont rendu
possible pour la glace de glisser sur les bordes et pousser les bouées vert le
bas.
Le projet montre que
les bouées peuvent
soutenir de la glace saisonnière,
qui ouvre pour la possibilité d’utiliser l'énergie des vagues dans la mer Baltique. L'objectif est de construire un parc d'énergie de vagues
de 1 MW. Il est vrai que les vagues y sont moins hauts que sur la côte ouest
mais en contrepartie ils sont moins longe qui augment la fréquence.
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