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lundi 9 décembre 2013

Le très suédois



Dans le pavillon suédois à l'exposition universelle de Séville, en Espagne, en 1992, la Suède a présenté les choses les plus suédois qu’ils pouvaient s’imaginer

 August Strindberg qui dans touts ces écrits presque n’abordait qu’un thème : 
Le pouvoir est par son nature destructive !
 
 Fifi Brindacier. Écrite par Astrid Lindgren une autrice pour enfants dans 
l’esprit de Strindberg. Fifi fait qu’elle veut et elle s’en fout d’autorités.

 

Chaises de Bruno Mathsson.

 Étagères cordes par Nisse Strinning.

 Une maison rouge avec coins blancs 
entouré de bouleaux et pins.


Calle Jularbo et son accordéon, un des 
favorites de ma grande mer.

Ce personnage, surgi de nulle part, incarnait pendant son époque la Suède populaire. On l’appelait le roi d’accordéon suédois. Il a vécu 1893-1966. Il a composé environ 100 mélodies et il fait plus de disques que tout autre suédois, 1577 enregistrements. Ces œuvres sont encore joués. Voici « La vie dans les forêts finnois » qui ne fait pas référence de Finlande mais une partie reculée du pays où des immigrants finnophones cultivaient la terre.


Qu'il en partie était gitan, le groupe qu’on en France maintenant appelle les gens de voyage, n’était pas un sujet dont Calle Jularbo voulait parler. En raison de persécutions et discriminations, beaucoup avec ce racine se sentait forcé de vivre avec double identités. À l’époque il y avait un grand acharnement contre cette minorité. Ils étaient appelé un fléau. De la stérilisation forcée a même était pratiqué. Calle Jularbo ne parlait jamais de ses origines.

 Carl Jularbo et son père

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