Dans le pavillon suédois
à l'exposition universelle de Séville, en Espagne, en 1992, la Suède a
présenté les choses les plus suédois
qu’ils pouvaient s’imaginer.
August Strindberg qui dans touts ces
écrits presque n’abordait qu’un thème :
Le pouvoir est par son nature destructive !
Fifi Brindacier. Écrite par Astrid
Lindgren une autrice pour enfants dans
l’esprit de Strindberg. Fifi fait
qu’elle veut et elle s’en fout d’autorités.
Chaises de Bruno
Mathsson.
Étagères cordes
par Nisse Strinning.
Une maison rouge avec
coins blancs
entouré de bouleaux et pins.
Calle Jularbo et son accordéon, un des
favorites de ma grande mer.
Ce personnage, surgi de nulle part,
incarnait pendant son époque la Suède populaire. On l’appelait le roi
d’accordéon suédois. Il a vécu 1893-1966.
Il a composé environ 100 mélodies et il fait plus de
disques que tout autre suédois, 1577 enregistrements. Ces œuvres sont encore joués. Voici « La vie dans les forêts finnois » qui ne fait pas référence de Finlande mais une partie reculée du pays où des immigrants finnophones cultivaient la terre.
Qu'il en partie était gitan, le groupe qu’on
en France maintenant appelle les gens de voyage, n’était pas un sujet dont
Calle Jularbo voulait parler. En raison de persécutions et discriminations, beaucoup avec ce racine
se sentait forcé de vivre avec double
identités. À l’époque il y avait un grand acharnement contre cette minorité. Ils étaient appelé un fléau. De la stérilisation
forcée a même était pratiqué. Calle Jularbo ne parlait jamais de ses origines.
Carl Jularbo et son père
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