John Snow est né
en 1813 dans la ville de York en Angleterre. Après l'école il a eu une
formation comme un médecin, d'abord à Newcastle puis à Londres
Il s’est spécialisée dans les nouvelles méthodes anesthésiées soit avec éther ou chloroforme. Son faculté d’opérer sans douleur s’est propagés et il a été embauché par la reine Victoria pour assister à la naissance de deux de ses neuf enfants. Mais, un autre et encore plus important tâche lui attendait.
Il s’est spécialisée dans les nouvelles méthodes anesthésiées soit avec éther ou chloroforme. Son faculté d’opérer sans douleur s’est propagés et il a été embauché par la reine Victoria pour assister à la naissance de deux de ses neuf enfants. Mais, un autre et encore plus important tâche lui attendait.
Le cholera a frappé Londres en l'été 1854.
Des centaines de gens sont morts chaque semaine, alors
que les médecins étaient impuissants. A cette époque
on croyait que la cause de choléra et la peste étaient du
mauvais air. (Aussi la malaria, un mot qui littéralement
signifie « mauvais air » en italien).
John Snow n’était pas aussi convaincu. Il a commencé d'enregistrer les décès, et identifier les adresses des victimes sur une carte. Bientôt, il s’est rendu compte qu’il avait de points de cumul des cas. Une partie de la ville où les points sur sa carte s’accumulaient étaient au milieu du quartier Soho. Plus précisément autour de la pompe d’eau dans le coin entre les rues actuellement nommés Broadwick Street et Poland Street.
John Snow n’était pas aussi convaincu. Il a commencé d'enregistrer les décès, et identifier les adresses des victimes sur une carte. Bientôt, il s’est rendu compte qu’il avait de points de cumul des cas. Une partie de la ville où les points sur sa carte s’accumulaient étaient au milieu du quartier Soho. Plus précisément autour de la pompe d’eau dans le coin entre les rues actuellement nommés Broadwick Street et Poland Street.
Apparemment l’eau était infectée par le
choléra bien que Snow n'ait pas
pu détecter l’agent infectieux ni par analyse chimique ni par aide d'un microscope. Il a néanmoins
rapporté ses conclusions au
conseil du district, qui a accepté que Snow temporairement pouvait démonter
la poignée de la pompe.
Parce que la population du quartier maintenant
devrait aller chercher leur eau
ailleurs, l’épidémie se bientôt calmait. Mais les autorités de
Londres ne croyaient toujours pas
á l’explication de Snow et après un
certain temps la poignée a été remise. Snow a alors agit seul et une nuit sombre il à
nouveau démonter la poignée. Plus tard, en
examinant la source de la pompe, il a été constaté qu’elle
était située à un mètre d’un cloaque fuité. Snow avait eu raison. Le choléra se repende
effectivement par l’eau infectée et il a été salué comme le sauveur de Londres.
Il n'est donc pas surprenant
que d'une pompe sans poignée
aujourd'hui enrichie l'intersection de
Broadwick et Poland Street. Il n'est pas non plus surprenant que le pub
du coin porte le nom John Snow.
John Snow, (le pub), n'est
pas seulement un site desservant un
certain nombre de bières anglaises classiques mais aussi le lieu de « The John Snow Society ».
Les membres se réunissent une fois par mois pour consommer une
boisson où les bactéries ont du mal à survivre.
Encadre sur un mur du pub est un poème
marrant sur le temps du choléra. Le troisième verset dit :
The cholera’s going, hourrah, hourrah!
The cholera’s going, hourrah!
They say it’s the water
that brought on the slaughter
and those that drank porter
were saved by the jar.
Auparavant le pub hébergeait aussi la
poignée mais comme la pompe orignal elle est maintenant dans un musée. La pompe
devant la porte n’est qu’une copie
moderne.
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