En Scandinavie on spécule
ces jours beaucoup sur les lauriers de la Prix
Nobel 2013. Qui sont les candidates et quels domaines accorderont l’attention ? Les spéculations sont
nombreuses.
Cependant, pour le Prix
de la Paix la
discussion touche plutôt la question si les actes du laurier 2013 vraiment
voudront le prix ou non. Le comité dans le parlement
norvégien qui nomme le laurier a été beaucoup critiqué ses dernières années. Un
candidat proposé par un journal est le russe Stanislav Petrov.
La nuit
du 26 Septembre 1983 une alarme s'est déclenchée sur une
base militaire près de Moscou. Stanislav
Petrov, dont le travail consistait
à alerter la direction de l'armée soviétique en cas de preuve d'une attaque de missiles, avait la garde.
-La sirène hurlait, mais assis sur mon chaise je regarderais comme figé le mot « lancé » sur l’écran pendant quelques secondes, a-t-il dit à la BBC.
-La sirène hurlait, mais assis sur mon chaise je regarderais comme figé le mot « lancé » sur l’écran pendant quelques secondes, a-t-il dit à la BBC.
Les
ordinateurs en face de lui
montrèrent un missile s’approchant
l'Union Soviétique. La fiabilité de
l'alarme était également indiquée comme « le plus
haut ».
Une minute plus tard, la sirène a retenti encore une fois. Un deuxième missile avait été lancé. Puis, un troisième, un quatrième et un cinquième. Les ordinateurs ont changé leurs avertissement de « lancé» à « attaque ».
Mais
contre ces instructions Stanislav
Petrov ne transmettait pas l'alarme
à ses supérieurs. Dans le climat
tendu pendant la guerre froide les
forces armées soviétiques auraient de haut
probabilité ordonnés un contre-attaque.
-La seule chose que j'avais à faire était de décrocher le téléphone avec une ligne direct à la direction militaire, mais je ne pouvais pas bouger.
Bien que tout indiquât que l'alarme fût réelle, Stanislav Petrov, spécialiste d’informatique avait un doute. L'Union soviétique avait d'autres experts qui surveillaient les missiles américains et les opérateurs de radar n’avaient rien annoncé. Cependant, le protocole était clair, selon les informations des ordinateurs la décision devrait être prise. Malgré cela Petrov l’a rapporté comme une fausse alarme quand il plus tard a appelé la direction.
-La seule chose que j'avais à faire était de décrocher le téléphone avec une ligne direct à la direction militaire, mais je ne pouvais pas bouger.
Bien que tout indiquât que l'alarme fût réelle, Stanislav Petrov, spécialiste d’informatique avait un doute. L'Union soviétique avait d'autres experts qui surveillaient les missiles américains et les opérateurs de radar n’avaient rien annoncé. Cependant, le protocole était clair, selon les informations des ordinateurs la décision devrait être prise. Malgré cela Petrov l’a rapporté comme une fausse alarme quand il plus tard a appelé la direction.
-Après
l’identification du missile le système informatique avait progressivement passé les 28 des 29 niveaux de sécurité, qui tous ont
confirmé qu'il s'agissait de missiles.
Les circonstances données je ne pensais pas
que c'était possible et un facteur de mon doute était une
l'alarme trop évident.
S'il avait fait une erreur le premier missile portant des armes nucléaires aurait frappé au bout de quelques minutes. 23 minutes plus tard, il s’est rendu compte qu'il avait eu raison.
En rétrospective, Petrov dit qu'il considérait la probabilité d'une fausse alerte à 50-50.
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