Vous êtes très relâchés.
C'était l'évaluation cohérente de trois ingénieures italiens qui pendant quelques semaines
avaient travaillé avec nous en Stockholm. Évidemment, un préjuge répandu est
que c’est les européen du sud qui sont les relâches est ceux du nord les tendus.
Le fait qui a incité cet
estimation était la différence entre un travaille collectif dans une
organisation plat et un travaille individuelle sous la tutelle d’une hiérarchie pyramidale, ou, la différence entre l’intelligence
collective et l’intelligence individuelle.
L'intelligence
collective désigne les capacités cognitives d'une communauté résultant des
interactions multiples entre ses membres, (ou agents). La connaissance des
membres de la communauté est limitée à une perception partielle de
l'environnement, ils n'ont pas conscience de la totalité des éléments qui
influencent le groupe. Des agents au comportement très simple peuvent ainsi
accomplir des tâches apparemment très complexes grâce à un mécanisme
fondamental appelé synergie.
Les 7 secondes devant la
machine à café avec quelque mots échangé de collègues qui par hasard sont sur place,
si fréquentes ici, n’est pas populaire en Suède. Il vaut mieux s’assoir autour
d’une table et discuter pendant 10 à 15 minutes. Pour certains économistes le
phénomène n’est qu’une perte de temps et le coût économique et facile à faire.
Pourtant, ce
fonctionnement, qui peut apparaitre anarchique, économise des chefs dans la hiérarchie. Car, le groupe échange des informations important
d’une façon informelle et dans quelque sorte il contrôle aussi soi-même.
Mais, les coutumes continentaux
ce répand aussi en Scandinavie. Sur tout, les prestations individuelles, que
certains pensent mesurables, commencent d’être très important pour le niveau du
salaire. Pourquoi aider les autres quand cela n’apporte rien dans la
portemonnaie ? On n’aide qu’en commende, parce que cette prestation est
visible par le chef qui décide sur le salaire.
Mais, la résistance
contre la culture individuelle commence à surgir. Avant, il n’y avait pas
besoin mais des études comparatifs entre ces deux modes de fonctionnement
apparaissent maintenant fréquemment dans les journaux. Un des dernières
constate que la pause de café est un bon lubrifient. Peut-être que nous nous
approchons une reconnaissance de l’efficacité de
l’intelligence collectif.
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