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jeudi 24 octobre 2013

Intelligence collective



Vous êtes très relâchés. C'était l'évaluation cohérente de trois ingénieures italiens qui pendant quelques semaines avaient travaillé avec nous en Stockholm. Évidemment, un préjuge répandu est que c’est les européen du sud qui sont les relâches est ceux du nord les tendus.

Le fait qui a incité cet estimation était la différence entre un travaille collectif dans une organisation plat et un travaille individuelle sous la tutelle d’une hiérarchie pyramidale, ou, la différence entre l’intelligence collective et l’intelligence individuelle.

L'intelligence collective désigne les capacités cognitives d'une communauté résultant des interactions multiples entre ses membres, (ou agents). La connaissance des membres de la communauté est limitée à une perception partielle de l'environnement, ils n'ont pas conscience de la totalité des éléments qui influencent le groupe. Des agents au comportement très simple peuvent ainsi accomplir des tâches apparemment très complexes grâce à un mécanisme fondamental appelé synergie. 

Les 7 secondes devant la machine à café avec quelque mots échangé de collègues qui par hasard sont sur place, si fréquentes ici, n’est pas populaire en Suède. Il vaut mieux s’assoir autour d’une table et discuter pendant 10 à 15 minutes. Pour certains économistes le phénomène n’est qu’une perte de temps et le coût économique et facile à faire.

Pourtant, ce fonctionnement, qui peut apparaitre anarchique, économise des chefs dans la hiérarchie. Car, le groupe échange des informations important d’une façon informelle et dans quelque sorte il contrôle aussi soi-même. 

Mais, les coutumes continentaux ce répand aussi en Scandinavie. Sur tout, les prestations individuelles, que certains pensent mesurables, commencent d’être très important pour le niveau du salaire. Pourquoi aider les autres quand cela n’apporte rien dans la portemonnaie ? On n’aide qu’en commende, parce que cette prestation est visible par le chef qui décide sur le salaire.

Mais, la résistance contre la culture individuelle commence à surgir. Avant, il n’y avait pas besoin mais des études comparatifs entre ces deux modes de fonctionnement apparaissent maintenant fréquemment dans les journaux. Un des dernières constate que la pause de café est un bon lubrifient. Peut-être que nous nous approchons une reconnaissance de l’efficacité de l’intelligence collectif.  

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