Comment écrire
un policier suédois sans se fatiguer. D’abord on commence par quelques problèmes :
Divorce.
Chef pire que la peste.
Enfants à chercher en maternelle.
Mauvais temps.
Panne de voiture.
Vacances gâchés.
Gueule de bois.
La vie sexuelle.
Ampoules d’orteils.
Linge sale.
Journalistes.
Enseignantes maternelles.
Café sans
gout.
Mal au ventre.
Mauvais couverture
de réseau.
Mornes visites d'appartements à louer.
Amis réussies.
Trou de chaussette.
Embouteillages.
Puis, on ajoute un meurtre.
J’ai lu Camilla Läckeberg,
une autrice qui selon ses propres mots n’écrit pas ses livres mais les produise.
Elle est facile à lire et 12 millions exemplaires ont été vendu dans plus de 50
pays.
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