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mardi 26 mars 2013

Sceptique ?


Que-est un sceptique ? Voici les synonymes : incrédule, athée, incroyant, indifférent, Pyrrhonien, non-croyant, irréligieux, désintéressé, défiant, dubitatif, douteur, dilettante, blasé, aporétique et Voltairien.

J’ai long temps pensé que je serrais un sceptique mais en vu de cette liste je ne suis plus si sûr. Avant ce mot me semblait caractériser une personne avec une approche scientifique, c’est-à-dire une notion de « pro- », un « nettoyeur » ou un « metteur en ordre » de bla-blas non-fondés.

Il est vrai que la science n’explique qu’une fraction de notre réalité. Pour le reste on ne peut que spéculer. Je n’ai rein contre spéculations et l’imagination est une source d’inspiration et joie. Seulement, il faut être consciente si on est dans une réalité confirmé ou à l’extérieure.   

De mon perception il y avait aussi une autre notion, moins confrontant, dans le scepticisme. C’est-à-dire faire en sorte que ses présentations, écrites ou orales, soient absolument claires et cela pour éviter tous malentendus. Cette attitude fait partie de pessimisme défensif dont je suis consentant.

« En condition que… mais avec exception de…, il est possible d’arriver à la conclusion suivant : » était mon façon de m’exprimer professionnellement. Ce réflexe a été plus profond que je l’ai pensé et maintenant j’ai une difficulté de laisser faire. Pour apprendre à écrire le français, qui maintenant est mon but, il n’est pas de tout nécessaire d’être si strict. Un peu de bla-bla dans un blog ne fait rien du mal et les ambiguïtés qu’on trouve dans des textes sont suivant assez amusantes.

Faut-il donc laisser tomber le rôle sceptique ? Il n’est pas mon intention. Mais, peut-être faut-il un mot plus descriptif ?

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