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mardi 5 mars 2013

Myosotis des marais

Forget-me-not, (Ne m'oublie pas), est le nom anglais pour cette petite fleur. Ce nom poétique revient dans beaucoup d'autres de langues. Allemand : Vergissmeinnicht, suédois : Förgetmigej, néerlandais : Vergeet-mij-nietje, esperanto : Forgesu-me-ne. La fleur est aussi entourée de plusieurs légendes.

Un jeune homme et sa petite amie se promenaient au bord du Danube quand ils ont vu des fleurs bleues qui poussaient sur un îlot. Le jeune homme pensait que sa petite amie bien méritait un bouquette et il a sauté dans l’eau pour les cueillir. La traverse se passait sans problèmes mais au retour, presque arrivé, il a tout d’un coup eu une crampe forte et il ne pouvait plus résister le courant fort. Tout en regardant le visage de sa bien-aimée il a lancé le bouquet à ses pieds avec les mots - Ne m'oubliez pas. Selon le conte la jeune femme aurait portait des myosotis dans son chevreaux jusqu’au sa mort.  

Une autre légende raconte l’aventure d’un voyageur dans une vallée déserté. Il aurait vu une petite fleur qu’il n'avait jamais connu auparavant. Il l’a cueilli et tout de suite une brèche s’est ouverte dans la montagne. En entrant il a vu d'abondantes réserves d’or et gemmes précieux. Lorsque il rassemblait ces merveilles il a accidentellement laisse tomber la fleur, qui faiblement murmurait, - ne m'oubliez pas. Mais, il était si occupé qu’il ignorait la demande. Suit à cette incident la brèche a commencé de se fermer et il a à peine pu s'échapper. Mais, hélas! La petite fleur qui lui avait guidé vers se trésor était perdue pour jamais.

La tradition chrétienne implique l’histoire que Dieu, en se promenant dans le jardin d’Éden après la création, a remarquée une petite fleur bleue et a demandée son nom qu’il avait oublié. La fleur surmontait sa timidité et a murmuré, - seigneur, je crains de l'avoir oublié aussi. Dieu répondait, - ne m'oubliez pas sera ton nom.

Voici une réflexion d’un botaniste suédois du 1900ème siècle, Richard Dybeck :

« Cette petite fleur irréprochable est depuis l’antique considéré comme une symbole pour amour et amitié. Pourtant, les noms éblouissants étrangers n'ont pas encore se raciné chez les paysans. Même pas le Förgät-mig-ej est connu dans les dialectes. La fleur n’est pas particulièrement aimée, sauf dans les villes où les gens la mettent en eau. Les noms actuels sont autochtones, par exemple Yeux de poisson ou Yeux du diable. Ce manque d’appréciation est certainement lié à l'absence d’utilités de la plante.

Cent années plus tard le – Förgät-mig-ej - Ne m’oubliez pas – avait conquis aussi la Suède et tout les noms dialectales sont disparus.

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