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vendredi 22 mars 2013

MOOC


Les universités de prestige comme Harvard et Stanford investissent massivement pour rendre leurs cours accessibles gratuitement à toute personne dans le monde sur un ordinateur connecté. Le nom du phénomène et MOOC, Massive Online Open Courses

L’université de Grenoble a depuis 2012 aussi ces MOOCs. Voici une liste des sujets d’où initiation à la géomatique est un. Le MOOC est apparemment difficile à traduire en français. Serait-il COLM, « Cours Ouverts en Ligne Massifs », ou MCOL, « Massifs Cours Ouverts en Ligne » ? Dans les deux cas l’impression est que les cours sont massifs et ne pas la participation. L’ITYPA, « Internet, Tout Y est Pour Apprendre », figure aussi dans le contexte mais en défaut d’une bonne traduction le MOOC semble avoir été accepté.

Le début en Suède a été entraîné par les amateurs de l'éducation en ligne et le phénomène n'était pas pris au sérieux par les administrateurs universitaires. Mais, après un certain temps sont devenues nerveux et maintenant ils comprennent que l’enjeu est important.

Cela ne signifie pas que les MOOCs suédoises sont jeunes. Au contraire, il y a déjà 10 ans que l’université technologique de Stockholm, KTH, a offert un MOOC préparatoire en mathématiques pour ces futures étudiantes.

Ce MOOC est actuellement utilisé par plusieurs universités en Suède Allemagne et bientôt Italie. Pour bien fonctionner il comprend tout une panoplie d’ingrédients, leçons, exercices, exemples, soutien par téléphone, chats, e-mails, forums, tests et examen.

La première année compté 200 étudiants, l'année suivante 2 000 et maintenant ils sont 10 000. Au début l'enseignement incluait des devoirs à corriger par le professeur. Mais, donné que le nombre d’inscrites maintenant est si important cela aurait générer le besoin de plus que 100 enseignants qualifiés.

Au lieu le group responsable a développé un système qui est une combinaison de corrections automatiques et devoir de groupes. Une autre fonction sécurisée suive les élèves individuellement, qui est nécessaire parce que l’examen donne des points de mérites.

D’autres MOOCs fonctionnent similairement mais avec variations. On peu par exemple donner les élèves un problème par semaine qui automatiquement est corrigée. Ce manière a l'avantage d’activer les participants et le professeur peut tout les jours entrer dans le système pour aider les coincés.

Une patate chaude est la question de crédit d'examen. En Etats-Unis les participants ne reçoivent normalement qu’une preuve de présence. Le risque de tricheries est haut et de vérifier que l’étudient devant l’écran est la bonne personne est difficile.

Pourtant, pour qu’un MOOC ait une efficacité maximale il faut les concevoir de la façon qu’ils renforcent ce qui est enseignés sur le campus.

J’ai le sentiment que quelque chose fondamentale est en train à changer dans le système éducatif. Que font nos décideurs ?

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