Le blog aléatoire

La révolution des robots

Nous cherchons un employé loyal pour une poste permanent.

L’offre : Je suis un flexible et extrêmement fidèle employé qui est prêts à travailler les deux tours de la pendule. Aucun travail ne m’est trop ennuyeux. Mes exigences de salariale sont nulles, sauf quelques soins de temps en temps. Si vous m’engagez vous avez ces garanties :

Que je ne me mêlerai jamais dans des affaires syndicalistes.

Que je ne dirai jamais des conneries sur mon chef.

Que je ne prendrai pas des repas de deux heures.

Que je ne m’amuserai pas avec mon iPad dans la toilette.

Que je ne polluerai pas le clavier avec des miettes de biscuits.

Cette candidature saliverait surement la bouche d’un employeur. Si les promesses semblent inhumain c’est parce que le candidat est un robot. Non, il ne s’agit pas d’un mauvais film de science fiction mais une réalité déjà venu. Une des raisons pourquoi la production est en train de revenir de l'Asie vers nos pays est que l’avantage concurrentielle de bas salaires bientôt est fini. Si les machines font le travaille, un usine fonctionne aussi bien ici que là bas.

Malgré peu d’exposition dans les médias la révolution robotique est en cours. Elle devrait intéresser plus de personnes que les amateurs de technologie et des scénaristes à Hollywood. En fait, elle semble expliquer une ou deux choses sur l’état de l'économie mondiale. Les robots est aussi un sujet très chaude dans les cercles économistes qui écrit dans le Financial Times.

Tout d'abord, le sujet est très important pour les offres d’emplois. Il est douloureusement évident qu’ils ne sont pas assez. Les chiffres du chômage sont encore sur des niveaux qui autrefois étaient considéré comme impensable. Les emplois disparus n’ont pas été remplacés par de nouveaux et pour les rares qui existent la tendance est de payer moins. Un trou noir a été crée qui menace à dévorer tous nos avancements dans le domaine de protections sociales.

Dans le livre « Race Against The Machine » par deux chercheurs de MIT, il y a une explication possible - l'automatisation. Ils font remarquer qu’il n'est pas seulement des emplois les plus faciles ou non qualifiés qui ont perdu le match contre les ordinateurs et les robots. Même les tâches assez qualifiés sont maintenant pris en charge par des machines à un rythme rapide. On les trouve dans l'éducation, les soins, les analyses de caractères différentes, les achats et ventes d’actions et même la traduction. Un diplôme universitaire supérieur n'est plus une garantie pour un bon emploi. Les avions sans pilote existent et il a aussi été démontré que des voyages en voitures seront plus sûres si faites par robots.

La tendance peut apparaitre un peu sombre et il vaut mieux ajouter que les craintes des machines n’est pas un phénomène nouveau. Il existe depuis la révolution industrielle. Désormais les humains voient la machine à la fois comme un sauveur et une menace. Jusqu'à présent les craintes se sont révélé chimères. Au contraire, beaucoup d'emplois que nous n’avons pas pu nous imaginé ont été crées. Il y a 50 ans que celui qui s’est présenté comme développeur d’applications aurait une tâche éducative intéressante.

Que faut-il donc faire pour se bien préparé pour la révolution qui est en cours mais malheureusement peu connu ? Il est clair que tout qui touche aux soins de robots est intéressantes.

Quand les ouvriers devinent opérateurs il faut être capable à lire des manuels qui souvent sont écrits en anglais. Donc, ceux qui ne sont pas bilingues n’aurons peu chances.     

La chirurgie cervicale des robots, c’est-à-dire l’informatique, est super chaud. Il faut en former plus dans ce métier qui déjà souffre de manques considérables, surtout des femmes qui sont catastrophiquement sous-représentées.

La communication homme robots est un maillon faible simplement parce qu’une petite erreur peut avoir des conséquences dramatiques. Il faut le mieux travaillé. C’est la tache des psycho-technologues qui inclut plusieurs compétences entre autre la perception humaine.

Bientôt il aura des robots qui savent apprendre par ses erreurs. Mais, qui va les apprendre ce qui est correct et faut ? Voila un nouveau métier, éducateur de robots !  

Il serait bien si cette problématique arrive sur les tables des politiciens.