L’OMS recommandé maintenant
l’utilisation de masques de protection dans des groupes où le virus peut se
propager. Cependant, la Suède n'a pas l'intention à recommande des masques pour
ses citoyens.
Voici les arguments :
OMS ne recommande pas des
masques généralement mais quand il est impossible à garder la distance sociale
et ce dernière mesure est selon l'OMS toujours meilleur. La base scientifique pour
l’utilité de masques est faible, mais la base pour la distance sociale est
solide.
Il existe des risques
évidents si le masque n'est pas utilisé correctement.
Il n'y a que deux études plus anciennes sur la protection contre l'épidémie de SRAS que donnent des masques mais elles n'apportent pas suffisamment de soutiens scientifiques.
Il n'y a que deux études plus anciennes sur la protection contre l'épidémie de SRAS que donnent des masques mais elles n'apportent pas suffisamment de soutiens scientifiques.
Le port de masques risque
affaiblirait la stratégie suédoise, qui consiste à rester à la maison lorsqu’on
est malade et à garder une distance sociale quand on n’a pas des symptômes. Le
port de masques pourrait inciter l’idée qu’on peut sortir quand on est malade
et rompre cette communication réussie avec les citoyens.
L'argument que les masques
protègent les autres de personnes qui sont malade mais sans symptômes est très
faible.
Ceux qui portent des
masques peuvent attraper des virus sur ses mains et le propager. Il est très,
très difficile de ne pas le toucher. Même les professionnels de la santé qui
sont formés pour porter des masques ont du mal à éviter de le toucher.
Cependant, la situation
est diffèrent en par exemple Londres. La bas, il n'y a peu de possibilités à
réduire les transports publics ce qui crée des environnements surpeuplés.
De même en Asie, où des
nombreuses personnes vivent proche et ne peuvent pas garder une distance
sociale.
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