1 km nord de la circule polaire, dans la municipalité de Gällivare, l’entreprise Boliden exploite
la mine Aitik. C’est une mine ouvert et la plus grande exploitation de cuivre
en Suède. 70 millions de tonnes de roches sont extradés chaque année. Parmi toutes les machines nécessaires il y a 30 énormes
camions miniers fabriqués par Caterpillar. Une moitié a la capacité de 220
tonnes et l’autre de 310 tonnes. Pour comprendre la taille il vaut mentionner
que les roues sont de 4 m en diamètre.
Ces camions ont de la soif. En sortant les minéraux de
la profondeur de 490 m, la version la plus grande consomme 400 litres de diesel
par heure. C’est la raison principale pourquoi l’entreprise maintenant est en
train d’examiner la possibilité d’électrifier ces transports.
Cependant, il n’y a aucun type de batterie capable de
stocker l’énergie nécessaire. C’est pourquoi une étude d’alimentation par
caténaires est en cours.
L'Agence suédoise de l'énergie a récemment accordé 1,0 millions d’euro pour le projet qui totalement coûtera 3,7 millions. Un parcours spécialement choisi sera fourni avec des caténaires qui alimenteront les moteurs électriques des 4 plus lourds camions du réseau au lieu d’utiliser leurs moteurs diesels de 85 litres.
Il ne s'agit pas de la traversée de la profondeur mais un parcours d’environ 700 mètres sur le niveau du sol et à environ 60 m plus haut, que les camions parcourent pour déposer les pierres sans minéraux valables. C’est environ la moitié de l’extraction ramassée.
Ce qui facilite la conversion est que ces camions déjà sont diesel-électriques. Les adaptations nécessaires se limitent donc à des pantographes, les équipements pour l'alimentation en courant continu et le logiciel pour assurer la fonction diesel-électrique. Parce qu’une transition en douceur est nécessaire, le logiciel assurera que le moteur diesel se met au repos quand le contact électrique est établi.
L'Agence suédoise de l'énergie a récemment accordé 1,0 millions d’euro pour le projet qui totalement coûtera 3,7 millions. Un parcours spécialement choisi sera fourni avec des caténaires qui alimenteront les moteurs électriques des 4 plus lourds camions du réseau au lieu d’utiliser leurs moteurs diesels de 85 litres.
Il ne s'agit pas de la traversée de la profondeur mais un parcours d’environ 700 mètres sur le niveau du sol et à environ 60 m plus haut, que les camions parcourent pour déposer les pierres sans minéraux valables. C’est environ la moitié de l’extraction ramassée.
Ce qui facilite la conversion est que ces camions déjà sont diesel-électriques. Les adaptations nécessaires se limitent donc à des pantographes, les équipements pour l'alimentation en courant continu et le logiciel pour assurer la fonction diesel-électrique. Parce qu’une transition en douceur est nécessaire, le logiciel assurera que le moteur diesel se met au repos quand le contact électrique est établi.
Les composants ferroviaires seront utilisés autant que possible
pour la construction des caténaires et les transformateurs.
L'infrastructure électrique doit être conçue pour
simultanément permettre 2 véhicules sur la ligne. Il signifie une puissance
maximale de 10 MW mais avec une puissance moyenne nettement inférieure. Chaque
camion peut recevoir un maximum de 4,75 MW. Un problème à résoudre est
l’éventualité de 3 camions sur la ligne. Une possibilité est de répartir
l’alimentation également et laisser les moteurs diesel compléter la puissance.
Une autre possibilité est d’installer un feu de circulation.
Un avantage majeur est que les camions pourront travailler avec une puissance nettement supérieure à celle dont le moteur diesel est capable. Il devrait doubler la vitesse, de 15 km/h à 25-30 km/h. D'une part cela signifie une économie en énergie, mais aussi une meilleure utilisation des camions.
Une interrogation importante, qui sera étudiée, concerne
la façon dont la route change avec le climat. À cause de la neige la hauteur de
la chaussée peut différer de 1 mètre entre les périodes de l'année, ce qui
clairement est un défi.
Le système sera mis en service dès cet automne, ce qui
nécessite un travail intensif pendant la saison chaude. Il se complique par le
fait que les camions essentiellement
roulent 24 heures par jour 365 jours par an.
Si cette première étape fonctionne comme prévu, il aura
plus tard une électrification jusqu’au fond de la mine.
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