Une coopération internationale entre pays d’Europe du
Nord étudie la possibilité d'créer des îles artificielles comme centres de
distribution pour énergie éoliennes. Parce que l’eau de Dogger Bank n’est pas
profonde, les éoliennes seront ancrées sur le fond de la mer. Par contre, les
îles sont nécessaires pour héberger des transformateurs et peut-être des
installations pour stocker l'excès d'électricité ou générer de l'hydrogène.
Le projet est géré par l'opérateur néerlandais du réseau électrique, Tennet. Leur plan est maintenant aussi supporté par des entreprises danoises et allemandes.
Le projet est géré par l'opérateur néerlandais du réseau électrique, Tennet. Leur plan est maintenant aussi supporté par des entreprises danoises et allemandes.
Les participants voient un avenir où il dans quelques
décennies deviendra difficile d’agrandir l'énergie éolienne sur terre. Les
zones côtières peu profondes seront aussi comblées d’éoliennes. Il faut donc
chercher des lieux propices pour éoliennes ailleurs ?
Une solution consiste à créer des surfaces terrestres près des zones convenables pour éoliennes.
Une solution consiste à créer des surfaces terrestres près des zones convenables pour éoliennes.
Dogger Bank s'étendent sur 17 600 km carrés et ont une
longueur de près de 300 km. Il est situé dans la mer du Nord à environ 100 km à
l'est du nord de la Grande-Bretagne. La zone est partagée entre la
Grande-Bretagne, le Danemark, l'Allemagne et les Pays-Bas.
La banque est une moraine crée pendant la dernière période glaciaire et se compose principalement de sable. La profondeur des autours est d’environ 40 m mais sur la banque elle-même elle n’est qu’environ 18 m.
La banque est une moraine crée pendant la dernière période glaciaire et se compose principalement de sable. La profondeur des autours est d’environ 40 m mais sur la banque elle-même elle n’est qu’environ 18 m.
Des câbles électriques vers Danemark, Allemagne,
Pays-Bas, Norvège et au Royaume-Uni font partie du plan pour un ou plusieurs
îlots artificiels.
Les parties du projet ont signé un accord pour élaborer
une première étude pour juin 2019. Elle inclura les possibilités techniques,
les coûts, les avantages potentiels, les aspects socio-économiques.
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