Il y avait certainement des problèmes écologiques quand
la Bible a été écrite. Pourtant, comparer avec touts autres problèmes, par
exemple de mauvais convivialité, ils étaient secondaires. C’est probablement
pourquoi il n’y a presque rien sur le sujet dans la Bible.
Aujourd’hui la situation est différente. Si nous ne nous
engagerons pas dans tous les problèmes écologiques qui nous entourent, la vie
humaine deviendra très difficile dans un proche avenir.
L’église catholique l’a comprise et selon
ce document leur engagement a pris ampleur avec l’élection de Jean-Paul II
en 1979. Depuis leur l’église catholique est présente dans toutes les grandes
conférences sur écologie, ce qui témoigne d’un engagement sérieux. Pourtant, en absence d’arguments bibliques, il est basé sur
l’idée que il ne faut pas, (trop ?), perturber l’œuvre de Dieu.
Cependant, Scott Pruitt, très croyante et chef de la
structure américain pour la protection de la nature, (Environmental Protection
Agency, EPA), a
une autre point de vue:
« La vision biblique à l'égard de ces questions est
que nous avons la responsabilité de gérer, cultiver et récolter les
ressources naturelles dont nous avons été bénis pour vraiment laisser en
profiter nos semblables. »
Remarquablement il n’y a pas le verbe protéger,
qui selon la fonction de Scott Pruitt devrait être
essentiel. Dans son interprétation des textes sacrés il n’y a pas question, car :
« La gauche environnementale nous dit que, bien que nous
ayons des ressources naturelles comme le gaz naturel et le pétrole et le
charbon, et que nous puissions nourrir le monde, nous devrions garder ces
choses dans le sol, ériger des clôtures et interdire. »
Donc, continuons-nous à pomper du pétrole, car c’est approuvé
par le bon Dieu !
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