Le blog aléatoire

Dissonance cognitive

Elle se manifeste par une sensation désagréable lorsque le cerveau essaie de traiter des valeurs et des actions incompatibles. Dans une telle situation, nous avons deux choix pour calmer l’esprit, soit changer quelque chose, soit éviter de réfléchir sur le problème.

Bien que nous croyions que les animaux doivent être bien traités la grande majorité de nous somme carnivores. Mais, nous ne mangeons pas n’importe quels animaux. Les chiens et les chats ne finissent pas sur nous assiettes.

Pour nous, loin d’ancien société agraire, la boucherie est associé avec une gêne et le plus que les animaux sont proche de nous, le plus important est la gêne. La méthode d’abattage dérange aussi. Les juifs et les musulmans orthodoxes pense que dieu nous a commandé d’égorger les animaux.

Dans ce dilemme une minorité a décidé de changer quelque chose et ne plus manger de la viande. Mais, la plus part de nous préfère l’autre méthode, c’est-à-dire de ne pas réfléchir sur la souffrance des animaux qui dans un grand nombre de cas déjà commence à la naissance.   
 
Nous n'aimons pas d’être rappelé comment ces animaux ont vécu et finalement ont été abattu. Cinéastes et photographes sont rarement bienvenus dans des usines d'animaux et les abattoirs. Dans les boutiques ils font leur meilleur pour que les produits nous ne rappellent plus aux animaux. La viande dans les étagères ne ressemble pas des corps d’animaux. Au lieu d'appeler les morceaux vache et couchons ils sont nommés bœuf et le porc et nous utilisons le mot abattre au lieu de tuer.

Le cerveau essaye de nous convaincre qu'il est éthiquement bon de manger des animaux. Voici quelques arguments : « Les animaux vivent bien, sinon la viande ne aurait pas un bon goût ». « L’homme a besoin de viande pour survivre ». Peut-être que nous choisissons de ne pas examiner la véracité dans ces arguments par craintes qu’ils se fondent ?

Beaucoup de mes amis, comme moi-même, évite de la viande !