Les feux de la forêt ne sont pas si mauvais

La Suédé a été frappé par beaucoup de feux de forêt cet été. En totale il y a eu une quarantaine, surtout dans le nord du pays. C’était beaucoup trop pour les pompiers locaux et des renforts sont venus de la Pologne. L’Italie et la France ont contribué avec des canadairs.

Des rubriques avec le mot catastrophe en gros lettres ne manquent pas dans les journaux. Mais, tout le monde n’est pas d’accord.

Il n’a que quelques pour cent de forêts naturelles dans le pays. Tous les autres sont aménagés, idéalement avec arbres de la même taille et plantés sur lignes droit pour rendre les abattages avec machines plus faciles.

L’autre fois 300 000 hectares des forêts naturelles brulaient chaque année. Les feux de cette année n’ont détruit qu’un dixième, 35 000 hectares. Beaucoup de biologies regret ce développement et disent que pour favoriser la biodiversité il faut plus de désordre dans les forêts.

Environ 50 espèces d'insectes sont des véritables pyrophiles. Il signifie qu'ils sont complètement dépendent des zones nouvellement brûlées. Ils volent simplement d’un champ de feu à l’autre. Un d’eux est le Melanophila acuminata, un coléoptère qui aussi est présent en France.

 De plus, il existe quelques centaines d'espèces qui sont adaptées aux différentes étapes successives qui se produisent lorsqu'une forêt repousse.

Une poignée de ces pyrophiles ont déjà disparu. Pour les conserver les autres il faut qu’environ 15 à 20% des terres forestières du pays soient complètement sauvage, ouvert aux feux et repousses naturelles.

Ce qui a sauvé de nombreuses espèces, sont les brûlages de conservation de la nature qui sont pratiqués depuis les années 1990. Mais, selon les experts du domaine il n’est pas suffisant. L'épuisement de la forêt continue.

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Rédactrice et traductrice Italien-Français à votre service

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