La Suède a rompu des contacts officiels avec Rome en 1524, C’était le début de la réformation luthérien. Mais,
un reforme si profond prend du temps et il a fallu plusieurs années pour l’accomplir.
Vers Noël 1526,
le roi a annoncé une
discussion publique entre Olaus Petri, réformateur, et le professeur Peder
Galle, catholique. Le denier a fait valoir que les enseignements
de l'Église ne sont pas ouverts à
une discussion sans la permission du
pape. Le roi, Gustav Wasa a pris cette refuse de dialogue comme
une faiblisse et il a poursuis avec son plan.
Dans un séjour du parlement, en 1527, il a
été décidé de donner au Roi le pouvoir de retirer les biens ecclésiastiques et décider sur les nominations. La Suède est devenue
protestant, mais encore fallait-il régler toutes les conséquences.
Le clergé, maintenait luthérien, est devenu pauvre suit aux confiscations des richesses
de l’église. Les prêtres, devenu pasteurs, devraient
désormais vivre sur des dons de la congrégation. La
profession est évidemment devenue moins populaire et il s’avérait très
difficile de trouver des personnes avec des bonnes compétentes.
Il fallait le plus souvent installés individus avec peu
de qualifications, telles que apprenties fugueurs ou alcooliques.
Les premiers pasteurs
étaient forcés de se marier le plus tôt que
possible. Cela comme preuve qu’ils avaient une relation
divine et réglementée
qui les permettrait à retenir les tentations du diable. Ils choisissaient naturellement des jeunes
femmes, qui généralement survivaient
leurs maris. Quand un pasteur est mort sa femme se
trouvait seuls, sans fortune
personnelle ou autre revenus
et peut-être avec une un foule d'enfants à nourrir. Pour que ces
veuves et enfants ne soient pas sans-abri,
il a été décidé que les veuves devraient
être « conservées ». S’est-à-dire que le successeur sur la poste, le nouveau jeune
pasteur, devrait épouser la veuve. Ce règle a été pratiqué presque
sans exception.
Beaucoup de femmes pourraient
survivre 1, 2 ou même 3 pasteurs
et leurs cadeaux
le matin du mariage augmentaient leurs biens chaque fois. Ce fait les a rendu des parties
économiquement attrayantes pour
les jeunes pasteurs.
La pratique de
« conservation » s’est finalement propage à la noblesse et
surtout aux agriculteurs. Il n'était pas rare pour un jeune ouvrier à la campagne de se
marier avec une veuve âgée de soixante ans. Grâce
à cet arrangement il devenait maître de
la ferme et la veuve avait
quelqu'un qui pouvait lui aider de la gérer.
Cependant, les veuves des artisans n'avez-vous pas l’obligation de se remarier. Elles pouvaient continuer leurs savoir-faire si elles le souhaitaient.
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