On parle beaucoup sur le M2M, machine to
machine, ou en français internet de choses. Des personnes privées en ont déjà,
par exemple le conteur d’électricité. Cependant, c’est l’industrie qui mène la
ligue.
Selon une analyse
récente la Suède a déjà plus de machines connectées que personnes dans le pays et cela ne comprend pas les mobiles et les ordinateurs. En revanche, tout genre de gadgets tels que
des bandes de sport, les véhicules et les robots sont inclus.
La valeur du marché sera bientôt sur
le niveau des milliards d’euros par an et
elle est estimé de croître de 32%
par an jusqu'en 2017. C’est deux fois plus vite que dans le
reste du monde.
Le fabriquant ABB construit des
robots et il vérifie leurs états par internet. Ces sont des machine installés un peu partout, de la fabrication d'armoires chez IKEA aux
boucheries des frères Nilsson. Avec ces
robots connectés les experts chez ABB
peuvent anticiper des incidentes et
informer leurs clients.
Siemens a la même
idée. Leurs turbines à gaz comprennent une douzaine de capteurs
qui relève l’état en distance et cela dans le monde entier.
Le fabriquant d’équipement de soudage, ESAB,
est sur le point de lancer un projet pilote similaire.
Même des appareils extrêmement
compliquée sont vérifiés en ligne. L’accélérateur linéaire pour le traitement du
cancer de la société Elekta a quelques 2 000 points d'alarmes,
qui sont analysés à distance pour planifier des
révisions et faire des mises à jour des logiciels.
Il n’est qu’un début. Presque toutes les
machines dans les ménages seront bientôt connectées. Ce développement est
devenu possible parce que les petites puces qui communiquent ne coûtent presque
rien. Dans un portable ces sont l’écran, le clavier et la batterie qui ont des
prix élevés.
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