Il y a 8 ans depuis l’affaire des caricatures de Mahomet. Un livre par un des personnages principaux, Ahmed Akkari, vient de sortir, en danois intitulé Min afsked med islamismen, Mon adieu de l'islamisme. En 2005 Akkari a été un des islamistes qui agitaient contre le quotidienne Jyllands-Posten. Les excuses dans le livre a reçu une attention considérable au Danemark.
Après la publication des caricatures, le 30 Septembre,
2005, il a fallu attendre Février
2006, avant que les manifestations
éclatent au Moyen-Orient. Pourquoi un an et demi ?
La réponse est que ce temps a été nécessaire pour Akkari et un petit groupe d'imams islamistes du Danemark, avec des liens vers autres groupes comme les Frères musulmans, à accomplir leur tournée au Moyen-Orient. Sans la persévérance de ce groupe, il n'y aurait pas eu de crise.
La réponse est que ce temps a été nécessaire pour Akkari et un petit groupe d'imams islamistes du Danemark, avec des liens vers autres groupes comme les Frères musulmans, à accomplir leur tournée au Moyen-Orient. Sans la persévérance de ce groupe, il n'y aurait pas eu de crise.
Au Moyen-Orient, ils
propageaient l'idée que les
réactions sur les caricatures en Danemark étaient une façon pour les danois et
leur gouvernement d’exprimer leur islamophobie et ne pas de défendre la liberté de la presse. Akkari admet
maintenant qu’ils ont menti délibérément.
Ils se considéraient comme des guerriers dans une bataille entre l'islam et
« l'Occident corrompu ». À leur assistance ils
avaient entre autre le gouvernement égyptien, les Frères
musulmans, le mufti de la Mecque et le prédicateur en télévision Yusuf al-Qaradawi. Akkari
rencontre que le petit groupe d'imams
danois également a pris contact avec des
organisations terroristes comme le Hamas et le Hezbollah et même fait des
efforts avec à Al-Qaïda.
Ils faisaient valoir qu'ils représentaient
27 organisations musulmanes danoises. Cela n’était pas absolument faut mais plusieurs de ces structures n’avaient que la taille de quelques
individus. Pourtant ils ont réussi. Les
entrepreneurs de plaintes tels que Akkari et le cercle l’entourant, n’avaient presque jamais raison dans leurs prétentions de
représenter les musulmans « ordinaires ».
« Lorsque nous sommes faibles,
nous utilisons des moyens pacifiques. »
C’est une idée qu’Akkari souvent a entendu pendant son temps comme islamiste. Les
représentants islamistes parlent souvent
deux langues. Vers l’extérieure
sur les bons principes d'intégration et démocratie,
vers intérieur avec des paroles beaucoup plus dures.
Un exemple est que l'imam danois Abu Laban, un proche allié d’Akkari, qui pendant la crise déclarait aux
médias danois qu'il voulait une réconciliation
mais aux médias arabes qu'il
se réjouirait si le Danemark serait
boycotté par les pays musulmans.
Une conséquence du règlement de comptes avec
ses anciens coreligionnaires est qu’Akkaris maintenant doit vivre dans la
clandestinité, en sautant entre différentes adresses et portant un déguisement
à extérieur. La liste de ceux qui ont dû se cacher ou qui ont été assassinés après avoir critiqué l'Islam ou l'islamisme s'allonge.
« Maintenant, je dois vivre dans la clandestinité. Mais, aussi longtemps que je suis un homme libre, je vis volontiers caché ».
« Maintenant, je dois vivre dans la clandestinité. Mais, aussi longtemps que je suis un homme libre, je vis volontiers caché ».
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Un
problème avec religions en générale est qu’elles ne sont pas démocratiques et
que leurs représentants par conséquence ne sont pas représentatives.
Dans
notre histoire y a aussi eu des personnes avec des opinions fortes minoritaires.
Cela les ont donné tant de problèmes avec les religieuses, à la limite même la
peine de mort. Juste un exemple :
Le 27 Octobre 1553 Jean
Calvin, fondateur du calvinisme, a
fait brûler sur le bûcher Michel Servet,
médecin espagnol, juste à l'extérieur de Genève pour ses convictions doctrinales!
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