Notre civilisation tourne autour de la capacité de produire
et utiliser énergie et il a été ainsi dès la domestication du feu. Depuis nous
ne cessons de toujours consumer plus. L’électricité nécessaire pour faire vivre
la ville de Marseille correspond aujourd’hui un peu près à un réacteur nucléaire.
Cependant, il n’est pas seulement énergie en grand quantité
qui est important pour notre bienêtre. Il faut aussi l’avoir en place, dans les
portables par exemple. Si la technologie de batterie des années 90 n’avait pas
fait des progrès les portables d’aujourd’hui pèseraient 2 à 3 fois plus.
Avec énergie présente par tout il serait possible
d’améliorer beaucoup dans nos vies. Les antennes de relais ont par exemple besoin
d’électricité et c’est un des raisons pourquoi il est coûteux de les installer dans les zones peu
peuplées.
Une autre amélioration serrait de pouvoir varier les limites
de vitesses sur les routes selon les conditions. Mais, ces panneaux désirables
auront besoin d’énergie pour changer leurs messages.
C’est pourquoi la récolte d’énergie est devenue un sujet chaud
dans le développement technologique. Serait-il par exemple possible de
l’extrader des routes ?
Une étude sur ce sujet vient d’être publiée en Suède. Les chercheurs notent que l'environnement
routier occupe des grandes surfaces. Il serrait intelligent d’en profiter au lieu de grignoter sur les zones naturelles pour produit des
énergies renouvelables.
Voici six pistes qui en vue des conditions
actuelles pourrait être possible :
• Panneaux photovoltaïque sur les protections contre le bruit. Cette solution existe en Europe est en Australie. Un avantage est que le
coût des supports mécanique pour ces panneaux est
considérablement plus bas.
• Panneaux photovoltaïque sur la chaussé. Le concept a été testé dans des projets pilotes. En certaines conditions, par exemple les zones secondaires avec peu d'usure, il pourrait aussi fonctionner en Suède.
• Panneaux photovoltaïque sur la chaussé. Le concept a été testé dans des projets pilotes. En certaines conditions, par exemple les zones secondaires avec peu d'usure, il pourrait aussi fonctionner en Suède.
• Energie
géothermique. Elle pourrait
en particulier être utilisée pour
rendre les pentes raides moins glissant en hivers et pour fondre la glace sur
les trottoirs. Avec pompes à chaleur des bâtiments voisins pourraient aussi en profiter.
• Générateurs piézoélectriques intégrés dans le bitume. Ils sont capables de convertir le poids des voitures qui passent en électricité. Cette méthode ne produise pas d’énergie, elle les extrade des voiture. Pourtant, elles pourraient être intéressantes comme option de longe fils pour par exemple alimenter des panneaux. Des tests ont été effectués en Israël, mais si elles aussi fonctionnent en cas de gel n’est pas clair. La technologie est complexe et nécessite plus de recherches et d'expériences pratiques.
• Des
petites éoliennes le long des routes. La méthode pourrait devenir une réalité
quand la technologie sera suffisamment sûre.
Entre autre, il ne doit pas avoir aucun
risque de projection de morceaux de glace détachés du
rotor.
• De la bioénergie extradée sur les bords des routes. Les plantes qu’y poussent sont aujourd’hui coupées pour améliorer la visibilité. De les récupérer pour produire du biogaz ou autres combustibles est envisageable.
• De la bioénergie extradée sur les bords des routes. Les plantes qu’y poussent sont aujourd’hui coupées pour améliorer la visibilité. De les récupérer pour produire du biogaz ou autres combustibles est envisageable.
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