Le sommet était
atteint, lorsque le Grand Maître
a déclaré : « Demandez-lui s'il veut
baiser le Grand Maître ou un
carlin sur le tout bas ». L’aspirant avait maintenant toutes les raisons de se plaindre que la plaisanterie fût traînée trop loin et disait qu'il ne voulait pas être risée devant les assemblés. Mais les
participants essayaient à le forcer de
choisir entre le Grand Maître et le carlin. Suivant que l’introducteur vainement avait utilisé toutes stratagèmes rhétoriques possibles pour le but, il a pris un carlin de cire, tissu
ou autres avec une queue courbée, l’a poussé contre la bouche de l'aspirant et forcé lui de le baiser sur l'arrière.
Ce carlin était toujours sur la table du Grand Maitre comme un symbole de
l’ordre.
De quoi s’agit-il ? Les sociétés
secrètes de toutes sortes étaient
populaires dans les années 1700. Quand le pape a excommunié la franc-maçonnerie dans les années 1730 certains catholiques allemands ont choisit à
fonder un ordre alternative, probablement
comme plaisanterie, sous la protection
du kurfürst Clemens
August de Cologne. Le
symbole de l’ordre était un
carlin, dont l’appellation « l’Ordre du Carlin ». Hommes et femmes pourraient être membres à condition qu’ils
soient catholiques.
L’Ordre du Carlin n’existait que quelques décennies et il n’a pas laissé beaucoup de traces. Le Grand Maître était toujours de sexe masculin et dans chaque loge il y avait aussi deux Grand Carlins, un homme et une femme, qui relayaient de la mener. Les cérémonies rappelaient de celles de la maçonnique, sauf que le carlin avait une place importante.
L’Ordre du Carlin n’existait que quelques décennies et il n’a pas laissé beaucoup de traces. Le Grand Maître était toujours de sexe masculin et dans chaque loge il y avait aussi deux Grand Carlins, un homme et une femme, qui relayaient de la mener. Les cérémonies rappelaient de celles de la maçonnique, sauf que le carlin avait une place importante.
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