C’est au Salon de 1859 que Manet se décide à dévoiler
officiellement sa première œuvre intitulée «Le buveur d'absinthe». Mais, la vie
d’un artiste n’est pas si facile et premièrement elle est refusée. La toile est
raillée pour son manque apparent de finition et aussi parce que la position de
la jambe gauche est étrange.
Il me semble que
la différence entre gribouillage et
génialité est diffuse. Qui peut savoir si une toile est bon ou
non ? Peut-être que les gens du Musée
de l’Art Mauvais à Boston le savent ?
Leur collection est commenté mais en lisant leurs jugements je ne suis pas si
sur, parce que ils n’expliquent vraiment pas pourquoi les œuvres dans leur
position serraient si mauvais.
Les
œillets roses défient la gravité dans cette nature morte peu
probable. Sans le
contrainte de leur vase, les fleurs se
positionnent indépendamment, grands, fiers et en
pleine floraison.
Peu réaliste ! C’est de la
critique dur ! Peut-être veut-t-il dire que les
bouts des tiges ne sont pas très bien peint ou que le bas attire les yeux plus
que les fleurs qui s’efforcent vers le haut. Mais, tout cela n’est que des
spéculations.
Aveuglé par les
aurores boréales, la belle jeune fille erre sur
la côte dans la nuit en
l'espoir d'un aperçu du navire de son
amant qu'elle craint perdu en mer ;
ignorant qu'il avait
rejoint la Marine parce qu'il préféré la compagnie de
ses camarades marins.
L’art des maoris.
Il ne faut mieux pas concurrencer
les dieux en créant l’art agréable.
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