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lundi 13 janvier 2014

Du bon art que c’est ?



C’est au Salon de 1859 que Manet se décide à dévoiler officiellement sa première œuvre intitulée «Le buveur d'absinthe». Mais, la vie d’un artiste n’est pas si facile et premièrement elle est refusée. La toile est raillée pour son manque apparent de finition et aussi parce que la position de la jambe gauche est étrange.

Il me semble que la différence entre gribouillage et génialité est diffuse. Qui peut savoir si une toile est bon ou non ? Peut-être que les gens du Musée de l’Art Mauvais à Boston le savent ? Leur collection est commenté mais en lisant leurs jugements je ne suis pas si sur, parce que ils n’expliquent vraiment pas pourquoi les œuvres dans leur position serraient si mauvais.

Les œillets roses défient la gravité dans cette nature morte peu 
probable. Sans le contrainte de leur vase, les fleurs se 
positionnent indépendamment, grands, fiers et en 
pleine floraison.

Peu réaliste ! C’est de la critique dur ! Peut-être veut-t-il dire que les bouts des tiges ne sont pas très bien peint ou que le bas attire les yeux plus que les fleurs qui s’efforcent vers le haut. Mais, tout cela n’est que des spéculations.

 Aveuglé par les aurores boréales, la belle jeune fille erre sur 
la côte dans la nuit en l'espoir d'un aperçu du navire de son 
amant qu'elle craint perdu en mer ; ignorant qu'il avait 
rejoint la Marine parce qu'il préféré la compagnie de 
ses camarades marins.

L’art des maoris. Il ne faut mieux pas concurrencer 
les dieux en créant l’art agréable.  

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