De toucher une cible en mouvement avec une balle est théocratiquement facile. Le
lanceur doit seulement observe le mouvement et jet la balle dans la direction de
la cible mais avec une aberration pour le déplacement fait pendant la
trajectoire de la balle.
La tache devient impossible quand le lanceur
ne se rend pas compte qu’il est en mouvement vis-à-vis la cible. Comme montre
cette vidéo c’est le cas sur un carrousel. En effet, il y a une probabilité que
le lanceur se frappe soi-même. Pour éviter une rotation
extrême, l’exemple utilise au lieu une balle qui roule.
L’effet s’appelle Coriolis parce que Gaspard-Gustave
Coriolis l’a décrit dans son livre intitulé « Du calcul de
l'effet des machines » de 1829.
Cependant, plus ou moins sans le savoir, nous somme tous sur
un type de carrousel, la terre. La rotation est de 360 degrés tous les 24
heures mais dans ce cas la rotation est un peu plus compliquée. Sur le pôle
nord l’axe est à 100% verticale mais sur l’équateur il est à 100% horizontal. Pour
cette discussion c’est le composant vertical qui est d'intérêt
et il varie entre 100% et 0%.
C’est pour cette raison qu’un gros volume d’air poussé dans
une direction, soit sur l’hémisphère nord, soit sur l’hémisphère sud, suive une
trajectoire si courbé qu’il devint un tourbillon. Dans ce cas le lanceur n’est
pas un humain mais des phénomènes atmosphériques assez compliqués.
La force Coriolis est faible sur la terre. À latitude de
Stockholm et une vitesse de l'eau de 1,0 m/s, (les tourbillons ce développent
aussi comme courants dans la mer), elle correspond à une accélération de 0,0001
m/s². Comparé avec la gravitation, 9,81 m/s², elle est donc 100 000 fois inférieure.
Néanmoins, pour que l’effet soit important il faut des masses de l’air ou l’eau
étendu sur de nombreuses kilomètres.
Est-ce-que les tourbillons formés juste
au-dessus les drains
des baignoires dans les hémisphères nord et sud tournent dans le même sens que les
dépressions métrologiques ? L’idée est répandue. Donnés des conditions idéales,
elle est aussi vraie. Pourtant ces conditions impliquent l’absence totale de plusieurs
perturbations :
·
Mouvement préexistant de l'eau. Si l'eau est déjà en
rotation, même si très lent,
avant d'être drainée, cette
direction est presque certainement une
incidence de la sens de rotation.
·
La forme
géométrique du récipient.
·
La souplesse des surfaces du
récipient.
·
La localisation du drain.
L'article
de Wikipedia mentionne quand même une expérience fait par un physicien qui en 1908. Il a avec succès démontré l'effet dans un grand récipient circulaire de plus de 1000 litres. En
prenant toutes genre de percutions, telle que de laisser l’eau se tranquilliser
pendant 24 heures dans une pièce de températures stabilisés, il
a pu constater que la rotation toujours allait dans le
sens inverse des aiguilles d’un montre. Cependant, comme
toutes ces essayes ont été faites dans l’hémisphère nord, à Boston, le résultat
correspondant dans l’hémisphère sud n’est pas connu.
Voici un blog sur le même sujet. Le
tourbillon de la baignoire est un mythe tenace.
Pour les amateurs faciles à convaincre, voici une vidéo qui
montre le contraire. Les conditions d’expérience sont loin d’acceptables. Il se
peut par exemple que l’expérimentateur quand il tire le bouchon fait un petit
mouvement, consciemment ou inconsciemment, dans la bonne
sens pour que le résultat soit conformes à ces idées.
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